Aux Sportives & Sportifs :
Sensibilisation
Ă l’Approche esSENSiel
Que peut vous apporter la dĂ©marche d’accompagnement sportif que je vous propose parmi la plĂ©thore d’offres et d’opportunitĂ©s dĂ©jĂ existantes ?
30 annĂ©es consacrĂ©es Ă la formation sportive autant qu’acadĂ©mique, couplĂ©e Ă presque autant d’annĂ©es au service de l’Ă©conomie privĂ©e et publique dans l’ingĂ©nierie des technologies de l’information et dans la conformitĂ© opĂ©rationnelle en entreprise ont aussi façonnĂ© le sportif et le formateur Ă©clectique que je suis devenu.
J’ai, comme vous trĂšs certainement, bĂ©nĂ©ficiĂ© de conseils et de suivis avisĂ©s qui m’ont fait progresser en tant que sportif, parfois en tant que spĂ©cialiste. Certains d’entre vous ont dit ou entendu dire que c’est grĂące Ă leur(s) sport(s), ou Ă l’intensitĂ© de sa/leur pratique qu’ils se sont dĂ©couverts ou se sont rĂ©alisĂ©s en tant que personne. Cela a aussi Ă©tĂ© mon cas; je me suis aussi souvent appuyĂ© sur ce qui s’est Ă©crit, ce qui s’est dit et sur ce que j’avais expĂ©rimentĂ© pour conseiller, orienter entraĂźner les sportifs avec qui je travaillais. Expert-ski au niveau national, j’ai pu constater, que mĂȘme au plus au niveau, les rĂ©ponses apportĂ©es posaient question… la mise en oeuvre de LA technique, l’application de principes ou de « lois » tels que la biomĂ©canique parmi d’innombrables autres paramĂštres, y compris technologiques, n’apportaient pas l’universalitĂ© des rĂ©ponses et les certitudes qu’on leur prĂ©tend.Â


Aux Sportives & Sportifs :
Sensibilisation
Ă l’Approche esSENSiel
Que peut vous apporter la dĂ©marche d’accompagnement sportif que je vous propose parmi la plĂ©thore d’offres et d’opportunitĂ©s dĂ©jĂ existantes ?
30 annĂ©es consacrĂ©es Ă la formation sportive autant qu’acadĂ©mique, couplĂ©e Ă presque autant d’annĂ©es au service de l’Ă©conomie privĂ©e et publique dans l’ingĂ©nierie des technologies de l’information et dans la conformitĂ© opĂ©rationnelle en entreprise ont aussi façonnĂ© le sportif et le formateur Ă©clectique que je suis devenu.
J’ai, comme vous trĂšs certainement, bĂ©nĂ©ficiĂ© de conseils et de suivis avisĂ©s qui m’ont fait progresser en tant que sportif, parfois en tant que spĂ©cialiste. Certains d’entre vous ont dit ou entendu dire que c’est grĂące Ă leur(s) sport(s), ou Ă l’intensitĂ© de sa/leur pratique qu’ils se sont dĂ©couverts ou se sont rĂ©alisĂ©s en tant que personne. Cela a aussi Ă©tĂ© mon cas; je me suis aussi souvent appuyĂ© sur ce qui s’est Ă©crit, ce qui s’est dit et sur ce que j’avais expĂ©rimentĂ© pour conseiller, orienter entraĂźner les sportifs avec qui je travaillais. Expert-ski au niveau national, j’ai pu constater, que mĂȘme au plus au niveau, les rĂ©ponses apportĂ©es posaient question… la mise en oeuvre de LA technique, l’application de principes ou de « lois » tels que la biomĂ©canique parmi d’innombrables autres paramĂštres, y compris technologiques, n’apportaient pas l’universalitĂ© des rĂ©ponses et les certitudes qu’on leur prĂ©tend.


J’ai depuis eu la chance et l’opportunitĂ© de croiser le chemin de B. ThĂ©raulaz, formateur, entraĂźneur et concepteur inspirĂ© de l’approche ActionTypesÂź, une approche de l’encadrement sportif, fruit de 30 annĂ©es de dĂ©veloppements empiriques avec son compĂšre R. Hippolyte, qui aujourd’hui, confrontĂ©e aux progrĂšs des neurosciences, fait la dĂ©monstration de son bien-fondĂ© dans les sports de haut-niveau (cliquer ICI pour en savoir plus). Sa vision et sa comprĂ©hension de ce qui amĂšne un sportif Ă organiser ses mouvements de façon cohĂ©rente ou non selon les contextes est une vraie rĂ©volution en la matiĂšre.
Avoir pu faire l’expĂ©rience de percevoir comment j’organisais ma coordination et ma motricitĂ© naturellement ou non selon le contexte m’a aidĂ© Ă comprendre bien plus que cela par ailleurs. Je suis devenu praticien ActionTypesÂź certifiĂ© et c’est sur et autour de cette conscience que l’approche esSENSiel s’est construite pour vous en faire bĂ©nĂ©ficier .
De quoi s’agit-il ?
En vous mettant dans des situations contradictoires d’Ă©quilibre, de vision, de rĂ©action, d’orientation, des contrastes Ă©nergĂ©tiques vous permettent de ressentir physiquement quelles sont les situations et les ressentis qui vous correspondent par rapport Ă ceux qui vous coĂ»tent. L’ensemble donne une signature motrice qui vous est propre. Cette signature :
- met en évidence vos préférences motrices structurelles et dynamiques,
- permet ensuite de décrypter les contextes qui affectent votre motricité,
- explique comment tirer profit des contextes qui se prĂ©sentent dans le cadre d’une activitĂ© sportive donnĂ©e, avec un Ă©quipement donnĂ© et dans un contexte donnĂ©.
Comment ? C’est lĂ que l’approche esSENSiel -ActionTypesÂź apporte une rĂ©elle valeur ajoutĂ©e :
Je vous livre ci-aprĂšs quelques exemples contextuels. Choisissez la discipline sportive de votre choix; chaque exemple vaut pour d’autres activitĂ©s sportives que celle Ă laquelle il est associĂ©.
- Football – Basket – Volley-ball – Handball
- Course Ă Pied – Marche – Squats
- VĂ©lo – VTT
- Ski alpin – Slalom – Freeride
- Snowboard
- Ski de Fond – Skating
- Escalade
- Natation – Paddle – CanoĂ©
- Tennis – Squash – Badminton – Lancers
- Force Musculaire – ExplosivitĂ©
- Lutte – Escrime – Boxe
- Patinage sur Glace, Ă Roulettes, Rollers, Inline
- Trail Running – Trekking
- Marche, Nordic Walking, Trail
Comment ? C’est lĂ que l’approche esSENSiel -ActionTypesÂź apporte une rĂ©elle valeur ajoutĂ©e :
Je vous livre ci-aprĂšs quelques exemples contextuels. Choisissez la discipline sportive de votre choix; chaque exemple vaut pour d’autres activitĂ©s sportives que celle Ă laquelle il est associĂ©.
- Football – Basket – Volley-ball – Handball
- Course Ă Pied – Marche – Squats
- VĂ©lo – VTT
- Ski alpin – Slalom – Freeride
- Snowboard
- Ski de Fond – Skating
- Escalade
- Natation – Paddle – CanoĂ©
- Tennis – Squash – Badminton – Lancers
- Force Musculaire – ExplosivitĂ©
- Lutte – Escrime – Boxe
- Patinage sur Glace, Ă Roulettes, Rollers, Inline
- Trail Running – Trekking
- Marche, Nordic Walking, Trail
Cette facultĂ© perceptive, dont nous bĂ©nĂ©ficions toutes et tous, ne relĂšve pas de la vision en tant que telle, mais de notre inclination naturelle Ă privilĂ©gier l’information venant d’un cĂŽtĂ© plus que de l’autre.
Et cette inclination n’est pas structurelle; elle s’adapte au contexte, comme bien d’autres composantes de notre motricitĂ©.
Encore faut-il savoir comment, quand et en quoi cela nous influence en matiĂšre de coordination dans notre activitĂ© sportive…
Sports de Balles, de Ballons
Saviez-vous que les joueuses/joueurs ont une zone d’attention plus naturelle en provenance soit de la gauche, soit de la droite ? (il n’est pas question Ă proprement parler de vision ici)
Pour nous contacter, cliquer ICI.
Sports de Balles, de Ballons
Saviez-vous que les joueuses/joueurs ont une zone d’attention plus naturelle en provenance soit de la gauche, soit de la droite ? (il n’est pas question Ă proprement parler de vision ici)
Pour nous contacter, cliquer ICI.
Cette facultĂ© perceptive, dont nous bĂ©nĂ©ficions toutes et tous, ne relĂšve pas de la vision en tant que telle, mais de notre inclination naturelle Ă privilĂ©gier l’information venant d’un cĂŽtĂ© plus que de l’autre.
Et cette inclination n’est pas structurelle; elle s’adapte au contexte, comme bien d’autres composantes de notre motricitĂ©.
Encore faut-il savoir comment, quand et en quoi cela nous influence en matiĂšre de coordination dans notre activitĂ© sportive…
Marche, Course, Squats :
Saviez-vous qu’en matiĂšre de motricitĂ©, la coordination de l’ĂȘtre humain s’articule autour des plans frontal et latĂ©ral certes, mais en fonction du contexte et non pas uniquement en fonction de notre pensĂ©e ou volontĂ© ?
Pour nous contacter, cliquer ICI.
Il est donc erronĂ© d’en dĂ©duire que quelqu’un marche, court uniquement de telle ou telle façon sur la base d’une observation ponctuelle, fĂ»t-elle faite avec de la technologie.
On privilĂ©gie un type de marche selon quelles chaĂźnes musculaires on privilĂ©gie de façon gĂ©nĂ©rale. Ces prĂ©fĂ©rences sont diffĂ©rentes selon les individus. Le type de marche que l’individu adopte, ainsi que les stations debout et assise, traduisent les prioritĂ©s auxquelles un individu fait appel pour trouver et maintenir son Ă©quilibre avec ou contre la gravitĂ©.
Cependant, le contexte peut faire basculer cette individu d’un mode de coordination privilĂ©giĂ© vers un mode alternatif. Cela consiste en l’opportunitĂ© de faire appel Ă des capacitĂ©s physiques et neuro-cĂ©rĂ©brales complĂ©mentaires, pour autant que ces composantes posturales et motrices sont en complĂšte cohĂ©rence avec les prĂ©fĂ©rences alternatives de cet individu.
Si tel n’est pas le cas, on crĂ©e des conditions propices Ă :
- de potentielles maladresses incomprĂ©hensibles (quand on s’encouble, quand on se cogne, qu’on commet des ratĂ©s monumentaux…)
- de potentielles pertes d’Ă©quilibre (foulures, entorses, luxations…)
- de potentielles surcharges (fractures de fatigue, crampes, claquage…)
D’oĂč l’intĂ©rĂȘt de savoir percevoir Ă quel type de motricitĂ© on fait appel Ă un instant « t », dans un contexte donnĂ©.
C’est ce que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź contribue Ă vous faire ressentir.
Marche, Course, Squats :
Saviez-vous qu’en matiĂšre de motricitĂ©, la coordination de l’ĂȘtre humain s’articule autour des plans frontal et latĂ©ral certes, mais en fonction du contexte et non pas uniquement en fonction de notre pensĂ©e ou volontĂ© ?
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Il est donc erronĂ© d’en dĂ©duire que quelqu’un marche, court uniquement de telle ou telle façon sur la base d’une observation ponctuelle, fĂ»t-elle faite avec de la technologie.
On privilĂ©gie un type de marche selon quelles chaĂźnes musculaires on privilĂ©gie de façon gĂ©nĂ©rale. Ces prĂ©fĂ©rences sont diffĂ©rentes selon les individus. Le type de marche que l’individu adopte, ainsi que les stations debout et assise, traduisent les prioritĂ©s auxquelles un individu fait appel pour trouver et maintenir son Ă©quilibre avec ou contre la gravitĂ©.
Cependant, le contexte peut faire basculer cette individu d’un mode de coordination privilĂ©giĂ© vers un mode alternatif. Cela consiste en l’opportunitĂ© de faire appel Ă des capacitĂ©s physiques et neuro-cĂ©rĂ©brales complĂ©mentaires, pour autant que ces composantes posturales et motrices sont en complĂšte cohĂ©rence avec les prĂ©fĂ©rences alternatives de cet individu.
Si tel n’est pas le cas, on crĂ©e des conditions propices Ă :
- de potentielles maladresses incomprĂ©hensibles (quand on s’encouble, quand on se cogne, qu’on commet des ratĂ©s monumentaux…)
- de potentielles pertes d’Ă©quilibre (foulures, entorses, luxations…)
- de potentielles surcharges (fractures de fatigue, crampes, claquage…)
D’oĂč l’intĂ©rĂȘt de savoir percevoir Ă quel type de motricitĂ© on fait appel Ă un instant « t », dans un contexte donnĂ©.
C’est ce que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź contribue Ă vous faire ressentir.
La performance issue d’un effort rĂ©sulte d’un engagement musculaire, sans aucun doute; mais celui-ci reste inefficace si il n’est pas couplĂ© Ă une coordination, elle-mĂȘme dĂ©pendante d’une posture. Toutefois, cette derniĂšre ne dĂ©coule pas en prioritĂ© des mensurations de la sportive/du sportif et de la forme ou dimension d’un vĂ©lo.
La puissance optimale Ă©merge d’une posture et partant, d’une coordination qui respecte l’organisation psychomotrice globale de l’athlĂšte. Cette organisation est propre Ă chaque individu; elle change selon que l’athlĂšte est en pleine possession de ses moyens ou fatiguĂ© par exemple aprĂšs 150 km ou aprĂšs l’ascension d’un col de premiĂšre catĂ©gorie.
C’est sur cette conscience d’une coordination qui s’adapte aux contextes et non pas d’une technique ou d’une posture qu’on impose aux contextes quels qu’ils soient que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź met l’accent; de sorte Ă permettre Ă l’athlĂšte de tirer le meilleur profit de qui il est d’un point de vue psychomoteur selon les contextes.
VĂ©lo – VTT
Saviez-vous que les watts qu’on exerce sur une pĂ©dale ne sont pas que le fruit d’un effort musculaire et de technicitĂ© ?
Pour nous contacter, cliquer ICI.
VĂ©lo – VTT
Saviez-vous que les watts qu’on exerce sur une pĂ©dale ne sont pas que le fruit d’un effort musculaire et de technicitĂ© ?
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La performance issue d’un effort rĂ©sulte d’un engagement musculaire, sans aucun doute; mais celui-ci reste inefficace si il n’est pas couplĂ© Ă une coordination, elle-mĂȘme dĂ©pendante d’une posture. Toutefois, cette derniĂšre ne dĂ©coule pas en prioritĂ© des mensurations de la sportive/du sportif et de la forme ou dimension d’un vĂ©lo.
La puissance optimale Ă©merge d’une posture et partant, d’une coordination qui respecte l’organisation psychomotrice globale de l’athlĂšte. Cette organisation est propre Ă chaque individu; elle change selon que l’athlĂšte est en pleine possession de ses moyens ou fatiguĂ© par exemple aprĂšs 150 km ou aprĂšs l’ascension d’un col de premiĂšre catĂ©gorie.
C’est sur cette conscience d’une coordination qui s’adapte aux contextes et non pas d’une technique ou d’une posture qu’on impose aux contextes quels qu’ils soient que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź met l’accent; de sorte Ă permettre Ă l’athlĂšte de tirer le meilleur profit de qui il est d’un point de vue psychomoteur selon les contextes.
Ski alpin, Slalom, Freeride :
Saviez-vous que le type d’engin de glisse ou de chaussures influent positivement ou nĂ©gativement sur des aspects structuraux de notre motricitĂ© ?
Pour nous contacter, cliquer ICI.
Utiliser un ski ou un snowboard plus ou moins taillĂ© (parabolique), un engin de glisse plus ou moins large, des chaussures avec une tige plus ou moins inclinĂ©es vers l’avant fait appel Ă des qualitĂ©s de coordination que vous avez certainement eu l’occasion de travailler et pratiquer que cela soit sous l’angle de la technique ou de la pratique :
Passer d’une mĂȘme paire de skis ou d’une planche Ă une autre, ne changeant que par sa taille (largeur du patin par rapport Ă la largeur de sa spatule), change la perception physique qu’on en a. PĂ©dagogiquement, on a conclu que cette prise en charge relevait des systĂšmes vestibulaire, kinesthĂ©sique et proprioceptif; ce qui est exact. On s’est arrĂȘtĂ© lĂ . Et pourtant, il est dĂ©montrĂ© aujourd’hui que l’apprentissage, fĂ»t-il diffĂ©renciĂ©, ne peut ĂȘtre efficient que si on considĂšre notre capacitĂ© Ă bouger d’une façon globale et individuelle. Chaque individu Ă©tant unique, ses capacitĂ©s motrices ne peuvent ĂȘtre rĂ©duites Ă des considĂ©rations biomĂ©caniques et techniques, d’autant moins si on considĂšre la volatilitĂ© des environnements dans lesquels les glisseurs Ă©voluent. L’influence du matĂ©riel, bonne ou mauvaise, ajoute Ă l’importance de prendre en compte les spĂ©cificitĂ©s motrices de chaque individu globalement au-delĂ des seuls aspects techniques et proprioceptifs.
l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź s’attache Ă faire ressentir Ă la personne Ă quelle organisation motrice elle fait appel en fonction du contexte dans lequel elle se trouve. Cela lui permettra, par exemple, d’adapter son matĂ©riel Ă son organisation motrice et non l’inverse, pour Ă©voluer avec moins d’efforts, sans tension, plus d’efficacitĂ©, en sollicitant moins ses articulations par exemple.
Il lui sera dĂšs lors aussi possible de choisir un Ă©quipement plus en rapport et en accord avec elle d’un point de vue psychomoteur au-delĂ et avant toute autre considĂ©ration.
Ski alpin, Slalom, Freeride :
Saviez-vous que le type d’engin de glisse ou de chaussures influent positivement ou nĂ©gativement sur des aspects structuraux de notre motricitĂ© ?
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Utiliser un ski ou un snowboard plus ou moins taillĂ© (parabolique), un engin de glisse plus ou moins large, des chaussures avec une tige plus ou moins inclinĂ©es vers l’avant font appel Ă des qualitĂ©s de coordination sensiblement diffĂ©rentes que vous avez certainement eu l’occasion de travailler et pratiquer que cela soit sous l’angle de la technique ou de la pratique :
Passer d’une mĂȘme paire de skis ou d’une planche Ă une autre, ne changeant que par sa taille (largeur du patin par rapport Ă la largeur de sa spatule), change la perception physique qu’on en a. PĂ©dagogiquement, on a conclu que cette prise en charge relevait des systĂšmes vestibulaire, kinesthĂ©sique et proprioceptif; ce qui est exact. On s’est arrĂȘtĂ© lĂ . Et pourtant, il est dĂ©montrĂ© aujourd’hui que l’apprentissage, fĂ»t-il diffĂ©renciĂ©, ne peut ĂȘtre efficient que si on considĂšre notre capacitĂ© Ă bouger d’une façon globale et individuelle. Chaque individu Ă©tant unique, ses capacitĂ©s motrices ne peuvent ĂȘtre rĂ©duites Ă des considĂ©rations biomĂ©caniques et techniques, d’autant moins si on considĂšre la volatilitĂ© des environnements dans lesquels les glisseurs Ă©voluent. L’influence du matĂ©riel, bonne ou mauvaise, ajoute Ă l’importance de prendre en compte les spĂ©cificitĂ©s motrices de chaque individu globalement, au-delĂ des seuls aspects techniques et proprioceptifs.
l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź s’attache Ă faire ressentir Ă la personne Ă quelle organisation motrice elle fait appel en fonction du contexte dans lequel elle se trouve. Cela lui permettra, par exemple, d’adapter son matĂ©riel Ă son organisation motrice et non l’inverse, pour Ă©voluer avec moins d’efforts, sans tension, plus d’efficacitĂ©, en sollicitant moins ses articulations par exemple.
Il lui sera dĂšs lors aussi possible de choisir un Ă©quipement plus en rapport et en accord avec elle d’un point de vue psychomoteur, au-delĂ et avant toute autre considĂ©ration.
Toutes celles et ceux qui ont pratiquĂ© le snowboard en passant du stade de dĂ©butant Ă celui de plus avancĂ© ont pu ressentir que les mouvements amenant Ă une bonne coordination sur l’engin Ă©taient bien diffĂ©rents. Plus on se familiarise avec la planche, moins il est nĂ©cessaire de faire appel Ă des mouvements de rotation du haut du corps.
Faire appel Ă des mouvements de rotation ou des contre-mouvements du haut du corps dans un axe diffĂ©rent de celui des hanches, est une qualitĂ© naturelle d’une partie du genre humain qui est mise en exergue dans les premiers stades de la pratique du snowboard, qu’il soit de type alpin, freestyle ou allround quand la forme taillĂ©e du snowboard et ses carres sont peu mises Ă contribution. Plus ces derniĂšres sont sollicitĂ©es, moins il est nĂ©cessaire d’ĂȘtre actif avec le haut du corps Ă des fins rotationnelles. C’est une consĂ©quence mise en Ă©vidence dĂšs que l’appui sur les bords de l’engin prend le pas sur les formes dĂ©rapĂ©es ou que le pratiquant fait preuve d’un Ă©quilibre plus sĂ»r. Cela favorise l’autre partie du genre humain qui, Ă des fins rotationnelles, s’appuie plus naturellement sur une utilisation associĂ©e de leurs ceintures pelvienne (hanches) et scapulaire (Ă©paules) dĂ©laissant ainsi les mouvement dits de contre-rotation.
Selon notre organisation motrice naturelle, il est donc soit plus facile d’apprĂ©hender la pratique du snowboard et plus dispendieux Ă©nergĂ©tiquement de progresser une fois les bases acquises, ou Ă l’inverse, il est plus ardu d’en maĂźtriser les mouvements de base mais bien plus aisĂ© ensuite de progresser dans ce qu’un bon niveau de snowboard demande en matiĂšre de coordination et de sensations.
Chacun d’entre nous a donc des prioritĂ©s motrices qui lui sont propres qu’il s’agit de respecter pour assurer une apprĂ©hension sĂ»re et une maĂźtrise plus efficace de nouvelles formes de glisse. Je parle bien ici de prioritĂ©s et non de limites; tout le monde peut faire usage d’une qualitĂ© motrice ou d’une autre, mais pas de la mĂȘme façon ni dans les mĂȘmes situations… Si il n’est pas forcĂ©ment conscient de passer spontanĂ©ment de l’une Ă l’autre de façon cohĂ©rente et efficace, il est primordial de savoir quand et comment son systĂšme bascule de l’une Ă l’autre de ces organisations motrices pour en tirer profit ou ne pas gĂ©nĂ©rer des incohĂ©rences susceptibles d’amener des pertes d’Ă©quilibre, des blocages, voire des blessures.
Il est donc plus qu’utile de ressentir quand et comment on s’appuie sur quelle organisation motrice pour Ă©viter de lutter contre soi-mĂȘme ou de se mettre Ă risque.
C’est ce que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź contribue Ă vous faire ressentir.
Snowboard
Saviez-vous que le snowboard fait appel Ă deux caractĂ©ristiques motrices structurelles qui sont antagonistes selon que vous ĂȘtes dĂ©butant ou bon technicien ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
Snowboard
Saviez-vous que le snowboard fait appel Ă deux caractĂ©ristiques motrices structurelles qui sont antagonistes selon que vous ĂȘtes dĂ©butant ou bon technicien ?
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Toutes celles et ceux qui ont pratiquĂ© le snowboard en passant du stade de dĂ©butant Ă celui de plus avancĂ© ont pu ressentir que les mouvements amenant Ă une bonne coordination sur l’engin Ă©taient bien diffĂ©rents. Plus on se familiarise avec la planche, moins il est nĂ©cessaire de faire appel Ă des mouvements de rotation du haut du corps.
Faire appel Ă des mouvements de rotation, voire des contre-mouvements du haut du corps dans un axe diffĂ©rent de celui des hanches, est une qualitĂ© mise en exergue dans les premiers stades de la pratique du snowboard, qu’il soit de type alpin, freestyle ou allround. Les personnes au bĂ©nĂ©fice de cette prioritĂ© motrice naturelle ont donc un avantage sur les autres. Que ces derniĂšres se rassurent, une organisation psychomotrice qui associe le haut et le bas du corps dans un mĂȘme sens rotatoire est mis en exergue aussitĂŽt que l’appui sur les carres de l’engin prend le pas sur les formes dĂ©rapĂ©es ou que le/la pratiquant fait preuve d’un Ă©quilibre plus sĂ»r.
Selon notre organisation motrice naturelle, il est donc soit plus facile d’apprĂ©hender la pratique du snowboard et plus dispendieux Ă©nergĂ©tiquement de progresser une fois les bases acquises, ou Ă l’inverse, il est plus ardu d’en maĂźtriser les mouvements de base mais bien plus aisĂ© ensuite de progresser dans ce qu’un bon niveau de snowboard demande en matiĂšre de coordination et de sensations.
Chacun d’entre nous a donc des prioritĂ©s motrices qui lui sont propres qu’il s’agit de respecter pour assurer une apprĂ©hension sĂ»re et une maĂźtrise plus efficace de nouvelles formes de glisse. Je parle bien ici de prioritĂ©s et non de limites; tout le monde peut faire usage d’une qualitĂ© motrice ou d’une autre, mais pas de la mĂȘme façon ni dans les mĂȘmes situations… Si il n’est pas forcĂ©ment conscient de passer spontanĂ©ment de l’une Ă l’autre de façon cohĂ©rente et efficace, il est primordial de savoir quand et comment son systĂšme bascule de l’une Ă l’autre de ces organisations motrices pour en tirer profit ou ne pas gĂ©nĂ©rer des incohĂ©rences susceptibles d’amener des pertes d’Ă©quilibre, des blocages, voire des blessures.
Il est donc plus qu’utile de ressentir quand et comment on s’appuie sur quelle organisation motrice pour Ă©viter de lutter contre soi-mĂȘme ou de se mettre Ă risque.
C’est ce que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź contribue Ă vous faire ressentir.
Ski de Fond, Skating :
Saviez-vous qu’en skating, garder ses Ă©paules dans le mĂȘme axe que celui des hanches n’est pas bĂ©nĂ©fique pour tout le monde ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
La recommandation technique qui dit qu’il faut toujours garder les Ă©paules dans le mĂȘme axe que les hanches n’est valable que pour les personnes qui sont en mesure de tirer avantage d’une organisation motrice dite associĂ©e, voire symĂ©trique pour certaines ou certains. Imposer cela lorsque le corps n’Ă©volue pas dans une telle configuration motrice revient Ă priver l’athlĂšte de l’accĂšs Ă une partie de ses propres ressources.
Il importe de percevoir dans quelles circonstances, pour des raisons techniques ou physiques, l’athlĂšte passe d’une motricitĂ© Ă l’autre. Cela lui permet de pouvoir adapter la technique Ă son systĂšme psychomoteur et non l’inverse.
l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź s’attache Ă permettre Ă l’athlĂšte de ressentir cela pour qu’elle/il en tire profit par lui-mĂȘme selon les contextes.
Ski de Fond, Skating :
Saviez-vous qu’en skating, garder ses Ă©paules dans le mĂȘme axe que celui des hanches n’est pas bĂ©nĂ©fique pour tout le monde ?
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La recommandation technique qui dit qu’il faut toujours garder les Ă©paules dans le mĂȘme axe que les hanches n’est valable que pour les personnes qui sont en mesure de tirer avantage d’une organisation motrice dite associĂ©e, voire symĂ©trique pour certaines ou certains. Imposer cela lorsque le corps n’Ă©volue pas dans une telle configuration motrice revient Ă priver l’athlĂšte de l’accĂšs Ă une partie de ses propres ressources.
Il importe de percevoir dans quelles circonstances, pour des raisons techniques ou physiques, l’athlĂšte passe d’une motricitĂ© Ă l’autre. Cela lui permet de pouvoir adapter la technique Ă son systĂšme psychomoteur et non l’inverse.
l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź s’attache Ă permettre Ă l’athlĂšte de ressentir cela pour qu’elle/il en tire profit par lui-mĂȘme selon les contextes.
Grosso modo, une moitiĂ© d’entre nous ont besoin de « mentaliser » ce qu’elles/ils vont faire en matiĂšre de mouvements, de prises, d’enchaĂźnements de mouvements. Cela passe par une lecture attentive de la longueur Ă escalader, de ses prises, approche qu’on voit beaucoup en compĂ©tition. Par ailleurs, cette façon de faire ne convient pas Ă toutes les formes d’organisations motrices. Certaines et certains d’entre nous, bien au contraire, s’organisent beaucoup mieux sans la contrainte du cadre de la prĂ©visibilitĂ©, de la prĂ©visualisation et s’imprĂšgnent de ce qui les attend beaucoup mieux en regardant globalement la voie, puis en se concentrant sur leurs mouvements au fur et Ă mesure de leur avancĂ©e. L’une approche n’est pas meilleure que l’autre.
Les neurosciences nous montrent qu’il vaut mieux s’en tenir Ă celle qui nous convient, car basculer vers l’autre forme de motricitĂ© est moins instinctif, moins spontanĂ©, moins facile et donc moins Ă©nergique, mais basculer vers l’autre type de motricitĂ© nous permet de ne pas ĂȘtre contraint par la dimension Ă©motionnelle de la situation.
Ce potentiel de progrĂšs vous tente-t-il ? Il ne vous reste plus qu’Ă faire l’expĂ©rience physique de ces deux types d’organisation que nous avons toutes et tous Ă disposition, mais que nous n’utilisons pas forcĂ©ment Ă bon escient. Telle est la spĂ©cificitĂ© de l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź.
Escalade :
Saviez-vous que selon l’organisation motrice que vous privilĂ©giez, vous pouvez avoir une approche soit plutĂŽt conceptuelle ou soit plutĂŽt contextuelle des mouvements que vous allez faire ?
Et qu’utiliser l’une plutĂŽt que l’autre n’est pas bĂ©nĂ©fique selon qui on est…
Pour nous contacter cliquer ICI.
Escalade :
Saviez-vous que selon l’organisation motrice que vous privilĂ©giez, vous pouvez avoir une approche soit plutĂŽt conceptuelle ou soit plutĂŽt contextuelle des mouvements que vous allez faire ?
Et qu’utiliser l’une plutĂŽt que l’autre n’est pas bĂ©nĂ©fique selon qui on est…
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Grosso modo, une moitiĂ© d’entre nous ont besoin de « mentaliser » ce qu’elles/ils vont faire en matiĂšre de mouvements, de prises, d’enchaĂźnements de mouvements. Cela passe par une lecture attentive de la longueur Ă escalader, de ses prises, approche qu’on voit beaucoup en compĂ©tition. Par ailleurs, cette façon de faire ne convient pas Ă toutes les formes d’organisations motrices. Certaines et certains d’entre nous, bien au contraire, s’organisent beaucoup mieux sans la contrainte du cadre de la prĂ©visibilitĂ©, de la prĂ©visualisation et s’imprĂšgnent de ce qui les attend beaucoup mieux en regardant globalement la voie, puis en se concentrant sur leurs mouvements au fur et Ă mesure de leur avancĂ©e. L’une approche n’est pas meilleure que l’autre.
Les neurosciences nous montrent qu’il vaut mieux s’en tenir Ă celle qui nous convient, car basculer vers l’autre forme de motricitĂ© est moins instinctif, moins spontanĂ©, moins facile et donc moins Ă©nergique, mais basculer vers l’autre type de motricitĂ© nous permet de ne pas ĂȘtre contraint par la dimension Ă©motionnelle de la situation.
Ce potentiel de progrĂšs vous tente-t-il ? Il ne vous reste plus qu’Ă faire l’expĂ©rience physique de ces deux types d’organisation que nous avons toutes et tous Ă disposition, mais que nous n’utilisons pas forcĂ©ment Ă bon escient. Telle est la spĂ©cificitĂ© de l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź.
Natation, Paddle, Canoé :
Saviez-vous que l’engagement du corps ou du tronc pour optimiser l’engagement et l’appui sur un bras ou sur une pagaie diffĂšre d’un individu Ă l’autre ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
Vous aurez certainement constatĂ© que certains nageurs, en crawl, font des battements de pieds en gardant les pieds dans l’axe du corps; alors que d’autres ont les pieds qui ont tendance Ă se croiser dans l’eau; certains parfois oscillent leur corps latĂ©ralement se mouvant tel un paddle plutĂŽt que comme une torpille.
C’est constitutif de deux types d’organisation motrice; qui sont structurelles et propres Ă chaque individu. Corriger cela au nom d’une technique est contre productif.
De la mĂȘme façon, dans les sports de rames ou de pagaies, l’engagement de celles-ci s’appuient sur une organisation psychomotrice diffĂ©rente selon que l’athlĂšte engage ses mouvements avec le haut du corps ou avec le bassin.
La force musculaire a prĂ©alablement besoin d’une bonne coordination pour produire son effet et cela ne se produit que lorsque cette coordination correspond au systĂšme psychomoteur de l’individu. C’est sur ce ressenti que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź se concentre plutĂŽt que sur la technique elle-mĂȘme.
Natation, Paddle, Canoé :
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C’est constitutif de deux types d’organisation motrice; qui sont structurelles et propres Ă chaque individu. Corriger cela au nom d’une technique est contre productif.
De la mĂȘme façon, dans les sports de rames ou de pagaies, l’engagement de celles-ci s’appuient sur une organisation psychomotrice diffĂ©rente selon que l’athlĂšte engage ses mouvements avec le haut du corps ou avec le bassin.
La force musculaire a prĂ©alablement besoin d’une bonne coordination pour produire son effet et cela ne se produit que lorsque cette coordination correspond au systĂšme psychomoteur de l’individu. C’est sur ce ressenti que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź se concentre plutĂŽt que sur la technique elle-mĂȘme.
Un lancer, une frappe efficace et prĂ©cise est le rĂ©sultat et l’Ă©mergence d’une coordination idĂ©ale dans un contexte donnĂ©.
AcquĂ©rir une technique de lancer ou de frappe et la travailler est certes utile et nĂ©cessaire. Pour autant, cela ne rendra pas ce geste instinctif, car entraĂźner et systĂ©matiser un geste dans un contexte donnĂ©, mĂȘme en variant ces contextes, n’est efficace Ă l’usage que dans un cadre trĂšs restreint de cas de figure.
Notre systĂšme psychomoteur a Ă©tĂ© conçu dĂšs son origine pour bouger et s’adapter Ă des environnements changeant sans cesse.
Pour un lancer et une frappe, il est donc plus efficace de percevoir quand et comment s’adapter aux changements en fonction de qui l’on est plutĂŽt que d’imposer une mĂȘme technique ou un mĂȘme type de coordination face Ă ces changements de contextes perpĂ©tuels. La variĂ©tĂ© de ces derniers Ă©tant infinie, les gestes les plus parfaits qu’on puisse entraĂźner et rĂ©pĂ©ter ne le seront jamais assez face Ă la rapiditĂ© et aux nombres de changements contextuels auxquels l’athlĂšte fait face.
C’est sur ce point, qui consiste Ă offrir Ă l’athlĂšte la possibilitĂ© d’identifier ses ressources motrices intrinsĂšques dans des contextes et environnements diffĂ©rents, que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź trouve ses fondements.
Tennis, Squash, Badminton, Lancers :
Saviez-vous que la préparation et la finition pour un mouvement de lancer efficace et précis ne découlent pas prioritairement de ce qui est communément appelé le « Geste Parfait » techniquement parlant ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
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Un lancer, une frappe efficace et prĂ©cise est le rĂ©sultat et l’Ă©mergence d’une coordination idĂ©ale dans un contexte donnĂ©.
AcquĂ©rir une technique de lancer ou de frappe et la travailler est certes utile et nĂ©cessaire. Pour autant, cela ne rendra pas ce geste instinctif, car entraĂźner et systĂ©matiser un geste dans un contexte donnĂ©, mĂȘme en variant ces contextes, n’est efficace Ă l’usage que dans un cadre trĂšs restreint de cas de figure.
Notre systĂšme psychomoteur a Ă©tĂ© conçu dĂšs son origine pour bouger et s’adapter Ă des environnements changeant sans cesse.
Pour un lancer et une frappe, il est donc plus efficace de percevoir quand et comment s’adapter aux changements en fonction de qui l’on est plutĂŽt que d’imposer une mĂȘme technique ou un mĂȘme type de coordination face Ă ces changements de contextes perpĂ©tuels. La variĂ©tĂ© de ces derniers Ă©tant infinie, les gestes les plus parfaits qu’on puisse entraĂźner et rĂ©pĂ©ter ne le seront jamais assez face Ă la rapiditĂ© et aux nombres de changements contextuels auxquels l’athlĂšte fait face.
C’est sur ce point, qui consiste Ă offrir Ă l’athlĂšte la possibilitĂ© d’identifier ses ressources motrices intrinsĂšques dans des contextes et environnements diffĂ©rents, que l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź trouve ses fondements.
Force Musculaire, Explosivité :
Saviez-vous qu’expirer pendant l’effort pour en tirer le meilleur parti n’est pas la rĂšgle ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
Vous comme moi avez entendu ce conseil qui consiste Ă expirer pendant la durĂ©e de l’effort. C’est exact dans certains contextes de posture et de coordination selon que la personne est en position de coordonner sa mobilitĂ© en s’appuyant sur sa motricitĂ© naturelle ou pas.
Le contexte et l’environnement influent sur l’organisation motrice de l’individu. La façon de respirer Ă l’effort se doit d’ĂȘtre cohĂ©rente et dĂ©couler de cette organisation motrice. Percevoir le type de coordination auquel on fait appel est donc dĂ©terminant pour coordonner sa respiration et son engagement musculaire afin d’en tirer le meilleur parti. Tout le monde ne se prĂ©pare pas au mieux Ă un effort violent en bloquant sa respiration…
Encore faut-il pouvoir ressentir son corps en fonction de ces moments. Tel est l’accent mis par l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź.
Force Musculaire, Explosivité :
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Vous comme moi avez entendu ce conseil qui consiste Ă expirer pendant la durĂ©e de l’effort. C’est exact dans certains contextes de posture et de coordination selon que la personne est en position de coordonner sa mobilitĂ© en s’appuyant sur sa motricitĂ© naturelle ou pas.
Le contexte et l’environnement influent sur l’organisation motrice de l’individu. La façon de respirer Ă l’effort se doit d’ĂȘtre cohĂ©rente et dĂ©couler de cette organisation motrice. Percevoir le type de coordination auquel on fait appel est donc dĂ©terminant pour coordonner sa respiration et son engagement musculaire afin d’en tirer le meilleur parti. Tout le monde ne se prĂ©pare pas au mieux Ă un effort violent en bloquant sa respiration…
Encore faut-il pouvoir ressentir son corps en fonction de ces moments. Tel est l’accent mis par l’approche esSENSiel -ActionTypesÂź.
L’explosivitĂ©, la force, la puissance, la rĂ©activitĂ© sont autant de facteurs de rĂ©ussite qui sont (trop) souvent travaillĂ©s pour ce qu’ils sont et en tant quel tels. Or, les neurosciences nous apprennent qu’il est vain de ne capitaliser que sur leur entraĂźnement respectif pour progresser. ConsidĂ©rĂ©s isolĂ©ment, entraĂźnĂ©s sĂ©parĂ©ment, ils demanderont Ă©normĂ©ment de temps et d’Ă©nergie pour des rĂ©sultats globalement trĂšs alĂ©atoires car dĂ©contextualisĂ©s.
Une performance, quelle qu’elle soit, Ă©merge d’une coordination, elle-mĂȘme le rĂ©sultat d’une organisation psycho-motrice cohĂ©rente. Or, celle-ci est propre Ă chaque individu et s’adapte, s’organise, se rĂ©organise en permanence en fonction du contexte. Il est donc primordial de commencer par identifier les inclinations motrices intrinsĂšques de la sportive, du sportif et s’assurer ensuite de la cohĂ©rence de cette organisation dans les diffĂ©rents contextes et situations face auxquels elle/il se confronte.
Ce n’est que sur fond de cet acquis sensoriel que la sportive, le sportif pourra laisser s’exprimer au mieux ses facultĂ©s d’explosivitĂ©, de puissance, de force ou de rĂ©activitĂ© dans la pratique de sa discipline sportive.
l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź vise Ă dĂ©velopper cette perception sensorielle et cette conscience chez les sportifs.
Lutte, Escrime, Boxe :
Saviez-vous que l’explosivitĂ©, la puissance ou la rĂ©activitĂ© ne rĂ©sultent pas uniquement de postures et de techniques d’attaques ou d’esquives ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
Lutte, Escrime, Boxe :
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L’explosivitĂ©, la force, la puissance, la rĂ©activitĂ© sont autant de facteurs de rĂ©ussite qui sont (trop) souvent travaillĂ©s pour ce qu’ils sont et en tant quel tels. Or, les neurosciences nous apprennent qu’il est vain de ne capitaliser que sur leur entraĂźnement respectif pour progresser. ConsidĂ©rĂ©s isolĂ©ment, entraĂźnĂ©s sĂ©parĂ©ment, ils demanderont Ă©normĂ©ment de temps et d’Ă©nergie pour des rĂ©sultats globalement trĂšs alĂ©atoires car dĂ©contextualisĂ©s.
Une performance, quelle qu’elle soit, Ă©merge d’une coordination, elle-mĂȘme le rĂ©sultat d’une organisation psycho-motrice cohĂ©rente. Or, celle-ci est propre Ă chaque individu et s’adapte, s’organise, se rĂ©organise en permanence en fonction du contexte. Il est donc primordial de commencer par identifier les inclinations motrices intrinsĂšques de la sportive, du sportif et s’assurer ensuite de la cohĂ©rence de cette organisation dans les diffĂ©rents contextes et situations face auxquels elle/il se confronte.
Ce n’est que sur fond de cet acquis sensoriel que la sportive, le sportif pourra laisser s’exprimer au mieux ses facultĂ©s d’explosivitĂ©, de puissance, de force ou de rĂ©activitĂ© dans la pratique de sa discipline sportive.
l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź vise Ă dĂ©velopper cette perception sensorielle et cette conscience chez les sportifs.
Patinage sur Glace, Roller :
Saviez-vous que pour la moitiĂ© d’entre nous prendre de la vitesse en patinant signifie ne pas aller droit ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
« Le plus court chemin n’est pas toujours la ligne droite, il faut parfois savoir contourner la montagne ». Cette maxime prend tout son sens en course d’orientation. Ătonamment, elle trouve aussi sa place en psychomotricitĂ©, mĂȘme appliquĂ©e aux diffĂ©rentes formes de patinages.
En matiĂšre de coordination et de mouvements, l’efficacitĂ© et la performance se cachent lĂ oĂč on ne les attend pas, plus exactement lĂ oĂč on ne va pas les chercher…
En effet, il y a deux familles en la matiĂšre celles et ceux qui s’organisent longitudinalement. Ceux-lĂ s’organisent de la tĂȘte aux pieds dans la direction vers laquelle elles/ils tendent. C’est le type de coordination sur laquelle la technique dite « idĂ©ale » telle que dĂ©crite dans certains livres et sur certains sites internet s’appuie…
Toutefois, pour l’autre moitiĂ© de la population, cette façon de faire n’est pas la plus efficace; cette population motrice a besoin de rĂ©fĂ©rences transversales pour avoir une bonne poussĂ©e et de la fluiditĂ©; ce qui se traduit sur des patins par des trajectoires alambiquĂ©es, surtout aux yeux de celles et ceux qui ne s’appuient pas sur une telle organisation de leur coordination.
l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź vise Ă dĂ©velopper cette perception sensorielle et cette conscience chez les sportifs.
Patinage sur Glace, Roller :
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« Le plus court chemin n’est pas toujours la ligne droite, il faut parfois savoir contourner la montagne ». Cette maxime prend tout son sens en course d’orientation. Ătonamment, elle trouve aussi sa place en psychomotricitĂ©, mĂȘme appliquĂ©e aux diffĂ©rentes formes de patinages.
En matiĂšre de coordination et de mouvements, l’efficacitĂ© et la performance se cachent lĂ oĂč on ne les attend pas, plus exactement lĂ oĂč on ne va pas les chercher…
En effet, il y a deux familles en la matiĂšre celles et ceux qui s’organisent longitudinalement. Ceux-lĂ s’organisent de la tĂȘte aux pieds dans la direction vers laquelle elles/ils tendent. C’est le type de coordination sur laquelle la technique dite « idĂ©ale » telle que dĂ©crite dans certains livres et sur certains sites internet s’appuie…
Toutefois, pour l’autre moitiĂ© de la population, cette façon de faire n’est pas la plus efficace; cette population motrice a besoin de rĂ©fĂ©rences transversales pour avoir une bonne poussĂ©e et de la fluiditĂ©; ce qui se traduit sur des patins par des trajectoires alambiquĂ©es, surtout aux yeux de celles et ceux qui ne s’appuient pas sur une telle organisation de leur coordination.
l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź vise Ă dĂ©velopper cette perception sensorielle et cette conscience chez les sportifs.
Les mammifĂšres dont le genre humain fait partie, partagent les mĂȘmes caractĂ©ristiques et prioritĂ©s psychomotrices aux fins de se coordonner et de bouger…
Notre cerveau est muni de deux hĂ©misphĂšres, pas uniquement pour coordonner et gĂ©rer nerveusement nos latĂ©ralitĂ©s. Cette bipolaritĂ© nous permet l’adaptation Ă l’environnement celui-ci n’Ă©tant par nature jamais figĂ©, qu’il soit naturel, sensoriel, relationnel, Ă©motionnel voire cognitif.
Ce cerveau Ă©tant au service du corps, il nous confĂšre la possibilitĂ© d’organiser notre coordination, donc nos mouvements de diffĂ©rentes façons en fonction de ces donnĂ©es environnementales ou contextuelles. C’est par ailleurs cette facultĂ© qui nous permet de rĂ©cupĂ©rer lorsque nous dormons. Quand nous dormons, nos prioritĂ©s neuro-cĂ©rĂ©brales et psychomotrices sont Ă l’opposĂ© de celles auxquelles nous faisons appel en journĂ©e.
Cela signifie qu’en matiĂšre de mouvements, nous avons donc au moins deux façons possibles de nous coordonner pour courir efficacement mais pas pour les mĂȘmes raisons. En avoir conscience, c’est se donner la possibilitĂ© de rĂ©cupĂ©rer activement lors d’un « dĂ©crassage » par exemple.
C’est un des aspects sur lequel l’approche esSENSiel-ActionTypesÂź se concentre.
Trail Running, Trekking
Saviez-vous qu’il nous est possible d’organiser notre motricitĂ© diffĂ©remment selon qu’on veuille se dĂ©penser plus ou selon qu’on ait besoin de s’Ă©conomiser ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
Trail Running, Trekking
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Les mammifĂšres dont le genre humain fait partie, partagent les mĂȘmes caractĂ©ristiques et prioritĂ©s psychomotrices aux fins de se coordonner et de bouger…
Notre cerveau est muni de deux hĂ©misphĂšres, pas uniquement pour coordonner et gĂ©rer nerveusement nos latĂ©ralitĂ©s. Cette bipolaritĂ© nous permet l’adaptation Ă l’environnement celui-ci n’Ă©tant par nature jamais figĂ©, qu’il soit naturel, sensoriel, relationnel, Ă©motionnel voire cognitif.
Ce cerveau Ă©tant au service du corps, il nous confĂšre la possibilitĂ© d’organiser notre coordination, donc nos mouvements de diffĂ©rentes façons en fonction de ces donnĂ©es environnementales ou contextuelles. C’est par ailleurs cette facultĂ© qui nous permet de rĂ©cupĂ©rer lorsque nous dormons. Quand nous dormons, nos prioritĂ©s neuro-cĂ©rĂ©brales et psychomotrices sont Ă l’opposĂ© de celles auxquelles nous faisons appel en journĂ©e.
Cela signifie qu’en matiĂšre de mouvements, nous avons donc au moins deux façons possibles de nous coordonner pour courir efficacement mais pas pour les mĂȘmes raisons. En avoir conscience, c’est se donner la possibilitĂ© de rĂ©cupĂ©rer activement lors d’un « dĂ©crassage » par exemple.
C’est un des aspects sur lequel l’approche esSENSiel se concentre.
Nordic Walking, Marche
Saviez-vous qu’il y a plusieurs façons d’engager et d’utiliser ses bĂątons pour bĂ©nĂ©ficier d’un appui efficient ?
Pour nous contacter cliquer ICI.
Oui !, aussi bizarre et anecdotique que cela puisse paraĂźtre d’y faire rĂ©fĂ©rence ici, l’utilisation de bĂątons de peau de phoque, de bĂątons de marche ou de nordic walking n’est pas forcĂ©ment si triviale que cela; en tous les cas sous l’angle d’une coordination respectueuse de l’individu.
Ce n’est pas anecdotique, car avec les pas, les mouvements de bras sont les mouvements les plus sollicitĂ©s dans le cadre d’une marche, ce d’autant plus si on en fait usage dans des terrains accidentĂ©s ou des pentes marquĂ©es.
Et ce n’est pas trivial, car leur usage, aussi naturel et presque innĂ© qu’il puisse paraĂźtre, dĂ©coule d’organisations psychomotrices qui sont propres Ă chacune et chacun.
Une moitiĂ© d’entre nous bĂ©nĂ©ficie de plus de force dĂšs le moment oĂč le bĂąton touche le sol et jusqu’Ă la moitiĂ© du mouvement d’accompagnement ou de poussĂ©e. Pour l’autre moitiĂ©, c’est Ă partir du milieu du mouvement d’accompagnement que la poussĂ©e sur le bĂąton s’exercera le mieux.
Deux autres facteurs peuvent bonifier ou pĂ©jorer l’efficacitĂ© de l’utilisation des bĂątons :
- le fait d’engager le corps avant les bras pour entrer en mouvement, ou l’inverse
- le fait de privilégier une marche avec une stimulation musculaire plutÎt concentrique ou plutÎt pliométrique
Tout ceci découle de préférences motrices et des contextes puisque certaines de ces préférences ne sont pas structurelles.
Ce n’est pas perceptible lorsqu’on marche sur un terrain plat pendant 30 minutes. Cela peut faire toute la diffĂ©rence aprĂšs 6 heures de « crapahu » en terrains pentus hors sentier par exemple ou lors d’un trail longue distance, ce d’autant plus l’Ăąge avançant.
DĂ©velopper cette sensibilitĂ© permet de profiter pleinement de l’aide des bĂątons sans en subir certains inconvĂ©nients contextuels. C’est cette sensibilitĂ© que l’approche esSENSiel dĂ©veloppe.
Nordic Walking, Marche
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Ce n’est pas anecdotique, car avec les pas, les mouvements de bras sont les mouvements les plus sollicitĂ©s dans le cadre d’une marche, ce d’autant plus si on en fait usage dans des terrains accidentĂ©s ou des pentes marquĂ©es.
Et ce n’est pas trivial, car leur usage, aussi naturel et presque innĂ© qu’il puisse paraĂźtre, dĂ©coule d’organisations psychomotrices qui sont propres Ă chacune et chacun.
Une moitiĂ© d’entre nous bĂ©nĂ©ficie de plus de force dĂšs le moment oĂč le bĂąton touche le sol et jusqu’Ă la moitiĂ© du mouvement d’accompagnement ou de poussĂ©e. Pour l’autre moitiĂ©, c’est Ă partir du milieu du mouvement d’accompagnement que la poussĂ©e sur le bĂąton s’exercera le mieux.
Deux autres facteurs peuvent bonifier ou pĂ©jorer l’efficacitĂ© de l’utilisation des bĂątons :
- le fait d’engager le corps avant les bras pour entrer en mouvement, ou l’inverse
- le fait de privilégier une marche avec une stimulation musculaire plutÎt concentrique ou plutÎt pliométrique
Tout ceci découle de préférences motrices et des contextes puisque certaines de ces préférences ne sont pas structurelles.
Ce n’est pas perceptible lorsqu’on marche sur un terrain plat pendant 30 minutes. Cela peut faire toute la diffĂ©rence aprĂšs 6 heures de « crapahu » en terrains pentus hors sentier par exemple ou lors d’un trail longue distance, ce d’autant plus l’Ăąge avançant.
DĂ©velopper cette sensibilitĂ© permet de profiter pleinement de l’aide des bĂątons sans en subir certains inconvĂ©nients contextuels. C’est cette sensibilitĂ© que l’approche esSENSiel dĂ©veloppe.
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