Il est convenu que les critères de choix d’une paire de chaussures de course à pied passent par sa capacité à s’adapter à une morphologie, à une taille de pieds, qu’elle ait des qualités de nervosité ou d’amorti, d’adhérence, de légèreté, parfois même qu’elle corresponde à des critères de modes ou de tendances, et bien sûr aussi à des critères de prix.

De la technologie est aussi mise à profit pour évaluer l’un ou l’autre de ces aspects pour mieux étayer son choix. Il y est fait appel notamment pour qualifier le type de foulée et d’appui sur le pied exercés par la/le protagoniste. Ce qui est observé au moment où l’exercice est fait est exact; toutefois, cela pose question car cela fait totalement abstraction des préférences motrices de l’acheteur/euse.

Les neurosciences nous démontrent actuellement combien la motricité d’un individu est globale et qu’à ce titre, elle est plurielle pour un même individu et qu’elle diffère également d’un individu à l’autre.

Notre foulée, comprendre notre coordination motrice, n’est pas la même en début d’effort qu’au bout de celui-ci, donc selon qu’on est en pleine possession de ses moyens ou pas. Elle peut aussi être altérée pendant l’effort selon qu’on se trouve affecté émotionnellement, cognitivement ou pas…

Il est donc primordial de permettre à toute future utilisatrice ou tout futur utilisateur d’être en mesure de pouvoir identifier par elle/lui-même sa propre signature motrice de manière à pouvoir la rendre cohérente en fonction des contextes auxquels elle/il se confronte avec le matériel correspondant à sa motricité naturelle. C’est au moins autant important que la vocation du matériel visé, au risque d’être confronté(e) à des « pépins » physiques si il en fait l’économie.

C’est ce sur quoi l’approche esSENSiel se concentre.

Il est convenu que les critères de choix d’une paire de chaussures de course à pied passent par sa capacité à s’adapter à une morphologie, à une taille de pieds, qu’elle ait des qualités de nervosité ou d’amorti, d’adhérence, de légèreté, parfois même qu’elle corresponde à des critères de modes ou de tendances, et bien sûr aussi à des critères de prix.

De la technologie est aussi mise à profit pour évaluer l’un ou l’autre de ces aspects pour mieux étayer son choix. Il y est fait appel notamment pour qualifier le type de foulée et d’appui sur le pied exercés par la/le protagoniste. Ce qui est observé au moment où l’exercice est fait est exact; toutefois, cela pose question car cela fait totalement abstraction des préférences motrices de l’acheteur/euse.

Les neurosciences nous démontrent actuellement combien la motricité d’un individu est globale et qu’à ce titre, elle est plurielle pour un même individu et qu’elle diffère également d’un individu à l’autre.

Notre foulée, comprendre notre coordination motrice, n’est pas la même en début d’effort qu’au bout de celui-ci, donc selon qu’on est en pleine possession de ses moyens ou pas. Elle peut aussi être altérée pendant l’effort selon qu’on se trouve affecté émotionnellement, cognitivement ou pas…

Il est donc primordial de permettre à toute future utilisatrice ou tout futur utilisateur d’être en mesure de pouvoir identifier par elle/lui-même sa propre signature motrice de manière à pouvoir la rendre cohérente en fonction des contextes auxquels elle/il se confronte avec le matériel correspondant à sa motricité naturelle. C’est au moins autant important que la vocation du matériel visé, au risque d’être confronté(e) à des « pépins » physiques si il en fait l’économie.

C’est ce sur quoi l’approche esSENSiel se concentre.

En effet, notre organisation neurocérébrale et psychomotrice est spiralée, ce qui a pour conséquence que le système privilégie un sens rotationnel.

Cela a donc aussi un effet sur notre façon de préparer ou de finir une frappe. Selon nos priorités motrices, nous aurons tendance à vouloir orienter ou tourner plus notre corps avant la frappe pour préparer le coup ou à l’inverse laisser le mouvement se prolonger après la frappe. Si tel est le cas en coup droit, ce sera l’inverse en revers.

Le challenge consiste à intégrer le contexte entourant les échanges et à laisser le corps et la tête de la joueuse ou du joueur se coordonner et s’adapter à ce contexte plutôt que de forcer une technique donnée aux contextes.

La « Technique », si elle est appliquée à la lettre, nous pousse à adopter une seule façon de faire. En matière de coordination le « One size fits all » ne fonctionne pas. Si la nature psychomotrice du joueur n’est pas respectée, les mouvements ne seront pas libérés mais dictés; ils feront preuve d’instabilité lors de leur exécution.

C’est sur cette quête de stabilité que l’approche esSENSiel se concentre.

En effet, aussi bizarre et anecdotique que cela puisse paraître d’y faire référence ici, l’utilisation de bâtons de peau de phoque, de bâtons de marche ou de nordic walking n’est pas forcément si triviale que cela; en tous les cas sous l’angle d’une coordination respectueuse de l’individu.

Ce n’est pas anecdotique, car avec les pas, les mouvements de bras sont les mouvements les plus sollicités dans le cadre d’une marche, ce d’autant plus si on en fait usage dans des terrains accidentés ou des pentes marquées.

Et ce n’est pas trivial, car leur usage, aussi naturel et presque inné qu’il puisse paraître, découle d’organisations psychomotrices qui sont propres à chacune et chacun.

Une moitié d’entre nous bénéficie de plus de force dès le moment où le bâton touche le sol et jusqu’à la moitié du mouvement d’accompagnement ou de poussée. Pour l’autre moitié, c’est à partir du milieu du mouvement d’accompagnement que la poussée sur le bâton s’exercera le mieux.

Que le client puisse percevoir ses propres réalités motrices lui permettra de déterminer quel type de bâtons lui conviendront le mieux. C’est cette sensibilité que l’approche

Deux autres facteurs peuvent bonifier ou péjorer l’efficacité de l’utilisation des bâtons :

• le fait d’engager le corps avant les bras pour entrer en mouvement, ou l’inverse
• le fait de privilégier une marche avec une stimulation musculaire plutôt concentrique ou plutôt pliométrique

Tout ceci découle de préférences motrices et des contextes puisque certaines de ces préférences ne sont pas structurelles.

Ce n’est pas perceptible lorsqu’on marche sur un terrain plat pendant 30 minutes. Cela peut faire toute la différence après 6 heures de « crapahu » en terrains pentus hors sentier par exemple ou lors d’un trail longue distance.

Que la/le client(e) puisse percevoir cette sensibilité lui permettra de faire un choix éclairé sur le type de bâtons qui lui convient en tant que personne et en fonction de l’activité envisagée. C’est cette sensibilité que l’approche esSENSiel développe.

En effet, aussi bizarre et anecdotique que cela puisse paraître d’y faire référence ici, l’utilisation de bâtons de peau de phoque, de bâtons de marche ou de nordic walking n’est pas forcément si triviale que cela; en tous les cas sous l’angle d’une coordination respectueuse de l’individu.

Ce n’est pas anecdotique, car avec les pas, les mouvements de bras sont les mouvements les plus sollicités dans le cadre d’une marche, ce d’autant plus si on en fait usage dans des terrains accidentés ou des pentes marquées.

Et ce n’est pas trivial, car leur usage, aussi naturel et presque inné qu’il puisse paraître, découle d’organisations psychomotrices qui sont propres à chacune et chacun.

Une moitié d’entre nous bénéficie de plus de force dès le moment où le bâton touche le sol et jusqu’à la moitié du mouvement d’accompagnement ou de poussée. Pour l’autre moitié, c’est à partir du milieu du mouvement d’accompagnement que la poussée sur le bâton s’exercera le mieux.

Que le client puisse percevoir ses propres réalités motrices lui permettra de déterminer quel type de bâtons lui conviendront le mieux. C’est cette sensibilité que l’approche

Deux autres facteurs peuvent bonifier ou péjorer l’efficacité de l’utilisation des bâtons :

• le fait d’engager le corps avant les bras pour entrer en mouvement, ou l’inverse
• le fait de privilégier une marche avec une stimulation musculaire plutôt concentrique ou plutôt pliométrique

Tout ceci découle de préférences motrices et des contextes puisque certaines de ces préférences ne sont pas structurelles.

Ce n’est pas perceptible lorsqu’on marche sur un terrain plat pendant 30 minutes. Cela peut faire toute la différence après 6 heures de « crapahu » en terrains pentus hors sentier par exemple ou lors d’un trail longue distance.

Que la/le client(e) puisse percevoir cette sensibilité lui permettra de faire un choix éclairé sur le type de bâtons qui lui convient en tant que personne et en fonction de l’activité envisagée. C’est cette sensibilité que l’approche esSENSiel développe.

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