« On Pense Parce qu’on bouge ! »
Pas l’Inverse…
« On Pense Parce qu’on bouge ! »
Pas l’Inverse…
AVANT-PROPOS RETOUR HAUT DE PAGE
Ce titre est la genèse de notre approche qui découle des travaux de Bertrand Théraulaz et Ralph Hippolytes sur les préférences motrices et l’approche ActionTypes®.
Nous développons ici en quoi il est si fondamental de le comprendre.
Pour faire simple, en matière de motricité, de mobilité et de coordination, nous faisons essentiellement appel à deux modes d’organisation psychomotrice selon que les contextes ou l’environnement dans lesquels nous évoluons nous affectent ou pas.
Un mode qui nous est naturel et auquel nous recourons la plupart du temps dès que le contexte nous est familier, favorable ou positif… Cette organisation motrice nous est bénéfique à bien des égards et nous donne de l’énergie.
L’autre mode est une alternative complémentaire au premier; il vient le compléter, plus exactement le suppléer lorsque nous faisons face à des situations qui sortent de notre ordinaire, qui nous surprennent, nous stressent, nous paraissent lourdes, voire négatives. Si on fait cérébralement facilement appel à ce système alternatif spontanément et inconsciemment, on a perdu la capacité de nous y appuyer physiquement, ce qui induit une incohérence psychomotrice, source de bien des désagréments.
C’est notre désir, ou le besoin qu’on a développé sur fond d’injonctions extérieures (telles que la technique en sport, les comportements sociaux, modes ou l’éducation) qui, à force de nous être inoculées, nous contraignent à ne faire appel qu’à une seule de nos deux organisations psychomotrices et en plus que partiellement lorsqu’on fait appel à la seconde. C’est la cause de nombre de nos maladresses par exemple.
Percevoir et reconnaître ses préférences motrices en fonction du contexte permet donc de ressentir lequel des modes d’organisation motrice agit ou réagit à l’environnement et au contexte dans lequel nous évoluons; cela permet du même coup d’identifier la nature de ce contexte, si il nous est énergisant ou si il nous coûte.
En matière de mobilité et de coordination cette absence de conscience explique nombre de maladresses, voire d’accidents :
- objets qu’on laisse tomber,
- pertes d’équilibre,
- gestes ou lancers maladroits,
- délais de réaction,
- cognements,
- chutes,
- foulures, entorses,
- …
Car la difficulté n’est pas tant de faire appel à un système plutôt que l’autre, mais de ressentir comment et quand bénéficier de l’un ou l’autre et éviter de se trouver à cheval entre les deux d’un point de vue psychomoteur. Cette dernière éventualité génère à des niveaux divers une incohérence potentielle dans notre organisation psychomotrice qui se traduit par une perte d’influx avec les conséquences susnommées. Nous arrivons souvent à composer ou à nous satisfaire de ces inconvénients, parfois moins…
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Ce titre est la genèse de notre approche qui découle des travaux de Bertrand Théraulaz et Ralph Hippolytes sur les préférences motrices et l’approche ActionTypes®.
Nous développons ici en quoi il est si fondamental de le comprendre.
Pour faire simple, en matière de motricité, de mobilité et de coordination, nous faisons essentiellement appel à deux modes d’organisation psychomotrice selon que les contextes ou l’environnement dans lesquels nous évoluons nous affectent ou pas.
Un mode qui nous est naturel et auquel nous recourons la plupart du temps dès que le contexte nous est familier, favorable ou positif… Cette organisation motrice nous est bénéfique à bien des égards et nous donne de l’énergie.
L’autre mode est une alternative complémentaire au premier; il vient le compléter, plus exactement le suppléer lorsque nous faisons face à des situations qui sortent de notre ordinaire, qui nous surprennent, nous stressent, nous paraissent lourdes, voire négatives. Si on fait cérébralement facilement appel à ce système alternatif spontanément et inconsciemment, on a perdu la capacité de nous y appuyer physiquement, ce qui induit une incohérence psychomotrice, source de bien des désagréments.
C’est notre désir, ou le besoin qu’on a développé sur fond d’injonctions extérieures (telles que la technique en sport, les comportements sociaux, modes ou l’éducation) qui, à force de nous être inoculées, nous contraignent à ne faire appel qu’à une seule de nos deux organisations psychomotrices et en plus que partiellement lorsqu’on fait appel à la seconde. C’est la cause de nombre de nos maladresses par exemple.
Percevoir et reconnaître ses préférences motrices en fonction du contexte permet donc de ressentir lequel des modes d’organisation motrice agit ou réagit à l’environnement et au contexte dans lequel nous évoluons; cela permet du même coup d’identifier la nature de ce contexte, si il nous est énergisant ou si il nous coûte.
En matière de mobilité et de coordination cette absence de conscience explique nombre de maladresses, voire d’accidents :
- objets qu’on laisse tomber,
- pertes d’équilibre,
- gestes ou lancers maladroits,
- délais de réaction,
- cognements,
- chutes,
- foulures, entorses,
- …
Car la difficulté n’est pas tant de faire appel à un système plutôt que l’autre, mais de ressentir comment et quand bénéficier de l’un ou l’autre et éviter de se trouver à cheval entre les deux d’un point de vue psychomoteur. Cette dernière éventualité génère à des niveaux divers une incohérence potentielle dans notre organisation psychomotrice qui se traduit par une perte d’influx avec les conséquences susnommées. Nous arrivons souvent à composer ou à nous satisfaire de ces inconvénients, parfois moins…
PRÉFÉRENCES MOTRICES ET NEUROSCIENCES :
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Les neurosciences et l’imagerie cérébrale viennent confirmer que, face à une même situation ou contexte, nous ne priorisons pas toutes et tous l’activation des mêmes zones cérébrales. Ces priorisations sont associées à des préférences motrices qui diffèrent d’un individu à l’autre. Ces dernières sont donc propres à chaque individu (ou groupes d’individus).
Ce fonctionnement de notre cerveau avec le reste de notre corps nous appartient depuis que nous sommes homininés (6 millions d’années tout de même…). Ce cerveau n’a fait qu’évoluer depuis lors, il n’a pas été remplacé par une version différente. Or, à cette époque, ce cerveau a été conçu pour permettre à nos ancêtres de bouger tout comme nous le faisons encore mais avec des enjeux notoirement moins vitaux qu’à l’époque.
L’évolution dont nous bénéficions aujourd’hui s’est construite sur, autour et dans ce même cerveau, sans en modifier la structure originelle. Nous nous sommes par contre distanciés de l’écoute de notre corps et de son fonctionnement aux sens « animal », sensoriel et instinctif des termes.
C’est donc ce même cerveau et la même organisation neuro-cérébrale qui nous ont permis d’évoluer et de fonctionner au plan de notre motricité et de nos capacités de coordination, et aussi à des fins relationnelles, cognitives ou émotionnelles, hier comme aujourd’hui. C’est un système global et propre à chaque personne qui se doit d’être appréhendé pour ce qu’il est.
Ressentir physiquement en fonction du contexte quelles préférences motrices sont sollicitées permet de mieux appréhender ces contextes. À l’inverse, avoir conscience de ses propres préférences motrices nous permet d’anticiper et agir proactivement face à des situations prédictibles en respectant et en nous appuyant sur nos ressources intrinsèques.
C’est d’une aide précieuse pour mieux comprendre et appréhender notre environnement, notre entourage, nos propres réactions ou ressentis ainsi que ceux des autres dans des aspects aussi divers et variés que :
- les tensions au sein d’un groupe
- le stress induit
- les ambiguïtés relationnelles
- les conflits larvés ou ouverts
- les difficultés de communication
- les difficultés de compréhension cognitive
- les difficultés de concentration
- …
PRÉFÉRENCES MOTRICES ET NEUROSCIENCES
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Les neurosciences et l’imagerie cérébrale viennent confirmer que, face à une même situation ou contexte, nous ne priorisons pas toutes et tous l’activation des mêmes zones cérébrales. Ces priorisations sont associées à des préférences motrices qui diffèrent d’un individu à l’autre. Ces dernières sont donc propres à chaque individu (ou groupes d’individus).
Ce fonctionnement de notre cerveau avec le reste de notre corps nous appartient depuis que nous sommes homininés (6 millions d’années tout de même…). Ce cerveau n’a fait qu’évoluer depuis lors, il n’a pas été remplacé par une version différente. Or, à cette époque, ce cerveau a été conçu pour permettre à nos ancêtres de bouger tout comme nous le faisons encore mais avec des enjeux notoirement moins vitaux qu’à l’époque.
L’évolution dont nous bénéficions aujourd’hui s’est construite sur, autour et dans ce même cerveau, sans en modifier la structure originelle. Nous nous sommes par contre distanciés de l’écoute de notre corps et de son fonctionnement aux sens « animal », sensoriel et instinctif des termes.
C’est donc ce même cerveau et la même organisation neuro-cérébrale qui nous ont permis d’évoluer et de fonctionner au plan de notre motricité et de nos capacités de coordination, et aussi à des fins relationnelles, cognitives ou émotionnelles, hier comme aujourd’hui. C’est un système global et propre à chaque personne qui se doit d’être appréhendé pour ce qu’il est.
Ressentir physiquement en fonction du contexte quelles préférences motrices sont sollicitées permet de mieux appréhender ces contextes. À l’inverse, avoir conscience de ses propres préférences motrices nous permet d’anticiper et agir proactivement face à des situations prédictibles en respectant et en nous appuyant sur nos ressources intrinsèques.
C’est d’une aide précieuse pour mieux comprendre et appréhender notre environnement, notre entourage, nos propres réactions ou ressentis ainsi que ceux des autres dans des aspects aussi divers et variés que :
- les tensions au sein d’un groupe
- le stress induit
- les ambiguïtés relationnelles
- les conflits larvés ou ouverts
- les difficultés de communication
- les difficultés de compréhension cognitive
- les difficultés de concentration
- …
CONTEXTUALISATION
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Mieux se percevoir et mieux ressentir comment nous nous adaptons à des changements contextuels, aussi infimes soient-ils, apportent plus de compréhension des environnements dans lesquels nous évoluons et des personnes qui les composent. Cela permet en outre de faire la différence entre le contexte, l’environnement et la personne. Il est par exemple trop souvent souhaité vouloir changer ou faire s’adapter les personnes face à des situations qui changent, alors qu’il importe d’adapter l’environnement aux personnes pour qu’elles expriment le meilleur d’elles-mêmes.
Notre éducation, notre modèle de société nous poussent à nous positionner de façon binaire par rapport à des valeurs. Ce faisant, nous jugeons la différence, donc la personne, plutôt que de considérer la personne globalement dans un contexte donné. C’est une facilité que l’on observe à titre personnel, individuel ou collectif, donc aussi dans nos interactions dans les modèles de gouvernance qui nous sont proposés, par exemple :
- au plan social sur les thèmes de l’inclusion ou de l’exclusion (pensez aux thèmes de l’émigration-immigration, aux questions de genres ou de couleurs…);
- au plan politique sur la radicalisation des positions et des mesures proposées (pensez aux thèmes de la représentativité, de l’exercice du pouvoir et du profil de celles et ceux qui l’exercent, de l’anticipation et de la prévention…);
- au plan économique sur le thème de la répartition des richesses (pensez à l’usage des technologies et des sciences…).
Il découle de ces positionnements arbitraires et contradictoires une société qui passe sont temps à se générer des problèmes nouveaux dont elle s’efforce de régler les conséquences à coups de lance-pierres. Un exemple ? L’écologie, mot-vedette par excellence, son existence puis sa nécessité est un concept inventé pour gérer les conséquences des agissements d’un modèle de société, qui lui en est la cause… Pour influer sur cette cause là, le genre humain n’a pas encore trouvé ni le concept ni le mot qui va avec. En revanche, la solution préconisée est de sauver la planète, planète qui a le temps cosmique pour se refaire et qui a suvécu à bien plus grave que les dérapage du genre humain. Le simple fait d’exprimer les choses sous cette forme démontre deux choses :
- Celles et ceux qui ont pensé, conçu et vendu cette priorité sous cette forme font preuve d’un fonctionnement dépersonnalisés :
- Positionner la planète comme victime et le climat comme responsable en est une forme
- Agir pour la planète est une façon de se donner bonne conscience sans rien changer sur ce qui a mis la planète dans cet état.
- Conséquence du précédent, ce fonctionnement illustre, dans ce cas comme dans tant d’autres, une propension, voire une inclination à considérer les conséquences pour des causes par esprit de facilité.
Ces quelques exemples vous démontrent l’importance et l’influence de nos priorités psychomotrices jusque dans le modèles de société qu’on développe. Ne vous méprenez sur ce que j’avance; je parle bien ci-dessus de qualités mais qui ne s’expriment là où elles devraient, où elles doivent devrais-je dire.
CONTEXTUALISATION
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Mieux se percevoir et mieux ressentir comment nous nous adaptons à des changements contextuels, aussi infimes soient-ils, apportent plus de compréhension des environnements dans lesquels nous évoluons et des personnes qui les composent. Cela permet en outre de faire la différence entre le contexte, l’environnement et la personne. Il est par exemple trop souvent souhaité vouloir changer ou faire s’adapter les personnes face à des situations qui changent, alors qu’il importe d’adapter l’environnement aux personnes pour qu’elles expriment le meilleur d’elles-mêmes.
Notre éducation, notre modèle de société nous poussent à nous positionner de façon binaire par rapport à des valeurs. Ce faisant, nous jugeons la différence, donc la personne, plutôt que de considérer la personne globalement dans un contexte donné. C’est une facilité que l’on observe à titre personnel, individuel ou collectif, donc aussi dans nos interactions dans les modèles de gouvernance qui nous sont proposés, par exemple :
- au plan social sur les thèmes de l’inclusion ou de l’exclusion (pensez aux thèmes de l’émigration-immigration, aux questions de genres ou de couleurs…);
- au plan politique sur la radicalisation des positions et des mesures proposées (pensez aux thèmes de la représentativité, de l’exercice du pouvoir et du profil de celles et ceux qui l’exercent, de l’anticipation et de la prévention…);
- au plan économique sur le thème de la répartition des richesses (pensez à l’usage des technologies et des sciences…).
Il découle de ces positionnements arbitraires et contradictoires une société qui passe sont temps à se générer des problèmes nouveaux dont elle s’efforce de régler les conséquences à coups de lance-pierres. Un exemple ? L’écologie, mot-vedette par excellence, son existence puis sa nécessité est un concept inventé pour gérer les conséquences des agissements d’un modèle de société, qui lui en est la cause… Pour influer sur cette cause là, le genre humain n’a pas encore trouvé ni le concept ni le mot qui va avec. En revanche, la solution préconisée est de sauver la planète, planète qui a le temps cosmique pour se refaire et qui a suvécu à bien plus grave que les dérapage du genre humain. Le simple fait d’exprimer les choses sous cette forme démontre deux choses :
- Celles et ceux qui ont pensé, conçu et vendu cette priorité sous cette forme font preuve d’un fonctionnement dépersonnalisés :
- Positionner la planète comme victime et le climat comme responsable en est une forme
- Agir pour la planète est une façon de se donner bonne conscience sans rien changer sur ce qui a mis la planète dans cet état.
- Conséquence du précédent, ce fonctionnement illustre, dans ce cas comme dans tant d’autres, une propension, voire une inclination à considérer les conséquences pour des causes par esprit de facilité.
Ces quelques exemples vous démontrent l’importance et l’influence de nos priorités psychomotrices jusque dans le modèles de société qu’on développe. Ne vous méprenez sur ce que j’avance; je parle bien ci-dessus de qualités mais qui ne s’expriment là où elles devraient, où elles doivent devrais-je dire.
QUEL RAPPORT AVEC L’APPROCHE esSENSiel ?
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L’approche esSENSiel ne dissocie pas le physique du cérébral; elle s’appuie sur l’un (le physique) pour mieux percevoir l’autre, parce que l’un et l’autre fonctionnent ensemble globalement tout le temps; ils sont indissociables et uniques pour chaque individu.
En comparaison de tout autre démarche visant à travailler sur soi, ici :
- il n’est pas question de se prendre la tête;
- il n’est pas question de subjectivité,
- il n’est pas question de conclusions toutes faites;
- il n’est pas question de questionnaires
il s’agit de se (re)découvrir par des exercices contradictoires ludiques d’équilibre, de réaction, de vision, de concentration qui sont évalués kinésiologiquement et mis en perspective à l’aune de la typologie jungienne. C’est en apportant de l’attention sur l’adaptation de votre motricité propre dans votre vie personnelle ou professionnelle, dans vos activités sportives ou autres qu’apparaîtront les réponses sur le bien-fondé de votre présence dans un contexte donné, ou sur la pertinence d’un effort ou d’une résultat par rapport à vous-même.
Il s’agit d’une démarche « simplexe » : aborder de façon simple un sujet d’une grande complexité sans en occulter la complexité
B. Théraulaz
Je remercie ici Bertrand Théraulaz et Ralph Hippolyte cofondateurs de l’approche ActionTypes® et leur incommensurable apport sans lequel l’approche esSENSiel n’aurait pu voir le jour.
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QUEL RAPPORT AVEC L’APPROCHE esSENSiel ?
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L’approche esSENSiel ne dissocie pas le physique du cérébral; elle s’appuie sur l’un (le physique) pour mieux percevoir l’autre, parce que l’un et l’autre fonctionnent ensemble globalement tout le temps; ils sont indissociables et uniques pour chaque individu.
En comparaison de tout autre démarche visant à travailler sur soi, ici :
- il n’est pas question de se prendre la tête;
- il n’est pas question de subjectivité,
- il n’est pas question de conclusions toutes faites;
- il n’est pas question de questionnaires
il s’agit de se (re)découvrir par des exercices contradictoires ludiques d’équilibre, de réaction, de vision, de concentration qui sont évalués kinésiologiquement et mis en perspective à l’aune de la typologie jungienne. C’est en apportant de l’attention sur l’adaptation de votre motricité propre dans votre vie personnelle ou professionnelle, dans vos activités sportives ou autres qu’apparaîtront les réponses sur le bien-fondé de votre présence dans un contexte donné, ou sur la pertinence d’un effort ou d’une résultat par rapport à vous-même.
Il s’agit d’une démarche « simplexe » : aborder de façon simple un sujet d’une grande complexité sans en occulter la complexité
B. Théraulaz
Je remercie ici Bertrand Théraulaz et Ralph Hippolyte cofondateurs de l’approche ActionTypes® et leur incommensurable apport sans lequel l’approche esSENSiel n’aurait pu voir le jour.
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