Aux Sportives & Sportifs :

Sensibilisation

à l’Approche esSENSiel

Que peut vous apporter la démarche d’accompagnement sportif que je vous propose parmi la pléthore d’offres et d’opportunités déjà existantes ?

30 années consacrées à la formation sportive autant qu’académique, couplée à presque autant d’années au service de l’économie privée et publique dans l’ingénierie des technologies de l’information et dans la conformité opérationnelle en entreprise ont aussi façonné le sportif et le formateur éclectique que je suis devenu.

J’ai, comme vous très certainement, bénéficié de conseils et de suivis avisés qui m’ont fait progresser en tant que sportif, parfois en tant que spécialiste. Certains d’entre vous ont dit ou entendu dire que c’est grâce à leur(s) sport(s), ou à l’intensité de sa/leur pratique qu’ils se sont découverts ou se sont réalisés en tant que personne. Cela a aussi été mon cas; je me suis aussi souvent appuyé sur ce qui s’est écrit, ce qui s’est dit et sur ce que j’avais expérimenté pour conseiller, orienter entraîner les sportifs avec qui je travaillais. Expert-ski au niveau national, j’ai pu constater, que même au plus au niveau, les réponses apportées posaient question… la mise en oeuvre de LA technique, l’application de principes ou de « lois » tels que la biomécanique parmi d’innombrables autres paramètres, y compris technologiques, n’apportaient pas l’universalité des réponses et les certitudes qu’on leur prétend. 

esSENSiel - Sportives & Sportifs - Sports de Glisse
esSENSiel - Sports - Magasins - Matériel-Ete

Aux Sportives & Sportifs :

Sensibilisation

à l’Approche esSENSiel

Que peut vous apporter la démarche d’accompagnement sportif que je vous propose parmi la pléthore d’offres et d’opportunités déjà existantes ?

30 années consacrées à la formation sportive autant qu’académique, couplée à presque autant d’années au service de l’économie privée et publique dans l’ingénierie des technologies de l’information et dans la conformité opérationnelle en entreprise ont aussi façonné le sportif et le formateur éclectique que je suis devenu.

J’ai, comme vous très certainement, bénéficié de conseils et de suivis avisés qui m’ont fait progresser en tant que sportif, parfois en tant que spécialiste. Certains d’entre vous ont dit ou entendu dire que c’est grâce à leur(s) sport(s), ou à l’intensité de sa/leur pratique qu’ils se sont découverts ou se sont réalisés en tant que personne. Cela a aussi été mon cas; je me suis aussi souvent appuyé sur ce qui s’est écrit, ce qui s’est dit et sur ce que j’avais expérimenté pour conseiller, orienter entraîner les sportifs avec qui je travaillais. Expert-ski au niveau national, j’ai pu constater, que même au plus au niveau, les réponses apportées posaient question… la mise en oeuvre de LA technique, l’application de principes ou de « lois » tels que la biomécanique parmi d’innombrables autres paramètres, y compris technologiques, n’apportaient pas l’universalité des réponses et les certitudes qu’on leur prétend.

esSENSiel - Sports - Magasins - Matériel-Ete
esSENSiel - Sportives & Sportifs - Sports de Glisse

J’ai depuis eu la chance et l’opportunité de croiser le chemin de B. Théraulaz, formateur, entraîneur et concepteur inspiré de l’approche ActionTypes®, une approche de l’encadrement sportif, fruit de 30 années de développements empiriques avec son compère R. Hippolyte, qui aujourd’hui, confrontée aux progrès des neurosciences, fait la démonstration de son bien-fondé dans les sports de haut-niveau (cliquer ICI pour en savoir plus). Sa vision et sa compréhension de ce qui amène un sportif à organiser ses mouvements de façon cohérente ou non selon les contextes est une vraie révolution en la matière.

Avoir pu faire l’expérience de percevoir comment j’organisais ma coordination et ma motricité naturellement ou non selon le contexte m’a aidé à comprendre bien plus que cela par ailleurs. Je suis devenu praticien ActionTypes® certifié et c’est sur et autour de cette conscience que l’approche esSENSiel s’est construite pour vous en faire bénéficier .

De quoi s’agit-il ?

En vous mettant dans des situations contradictoires d’équilibre, de vision, de réaction, d’orientation, des contrastes énergétiques vous permettent de ressentir physiquement quelles sont les situations et les ressentis qui vous correspondent par rapport à ceux qui vous coûtent. L’ensemble donne une signature motrice qui vous est propre. Cette signature :

  • met en évidence vos préférences motrices structurelles et dynamiques,
  • permet ensuite de décrypter les contextes qui affectent votre motricité,
  • explique comment tirer profit des contextes qui se présentent dans le cadre d’une activité sportive donnée, avec un équipement donné et dans un contexte donné.

Comment ? C’est là que l’approche esSENSiel -ActionTypes® apporte une réelle valeur ajoutée :

Je vous livre ci-après quelques exemples contextuels. Choisissez la discipline sportive de votre choix; chaque exemple vaut pour d’autres activités sportives que celle à laquelle il est associé.

Comment ? C’est là que l’approche esSENSiel -ActionTypes® apporte une réelle valeur ajoutée :

Je vous livre ci-après quelques exemples contextuels. Choisissez la discipline sportive de votre choix; chaque exemple vaut pour d’autres activités sportives que celle à laquelle il est associé.

Cette faculté perceptive, dont nous bénéficions toutes et tous, ne relève pas de la vision en tant que telle, mais de notre inclination naturelle à privilégier l’information venant d’un côté plus que de l’autre.

Et cette inclination n’est pas structurelle; elle s’adapte au contexte, comme bien d’autres composantes de notre motricité.

Encore faut-il savoir comment, quand et en quoi cela nous influence en matière de coordination dans notre activité sportive…

Sports de Balles, de Ballons

Saviez-vous que les joueuses/joueurs ont une zone d’attention plus naturelle en provenance soit de la gauche, soit de la droite ? (il n’est pas question à proprement parler de vision ici)

Pour nous contacter, cliquer ICI.

Sports de Balles, de Ballons

Saviez-vous que les joueuses/joueurs ont une zone d’attention plus naturelle en provenance soit de la gauche, soit de la droite ? (il n’est pas question à proprement parler de vision ici)

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Cette faculté perceptive, dont nous bénéficions toutes et tous, ne relève pas de la vision en tant que telle, mais de notre inclination naturelle à privilégier l’information venant d’un côté plus que de l’autre.

Et cette inclination n’est pas structurelle; elle s’adapte au contexte, comme bien d’autres composantes de notre motricité.

Encore faut-il savoir comment, quand et en quoi cela nous influence en matière de coordination dans notre activité sportive…

Marche, Course, Squats :

Saviez-vous qu’en matière de motricité, la coordination de l’être humain s’articule autour des plans frontal et latéral certes, mais en fonction du contexte et non pas uniquement en fonction de notre pensée ou volonté ?

Pour nous contacter, cliquer ICI.

Il est donc erroné d’en déduire que quelqu’un marche, court uniquement de telle ou telle façon sur la base d’une observation ponctuelle, fût-elle faite avec de la technologie.

On privilégie un type de marche selon quelles chaînes musculaires on privilégie de façon générale. Ces préférences sont différentes selon les individus. Le type de marche que l’individu adopte, ainsi que les stations debout et assise, traduisent les priorités auxquelles un individu fait appel pour trouver et maintenir son équilibre avec ou contre la gravité.

Cependant, le contexte peut faire basculer cette individu d’un mode de coordination privilégié vers un mode alternatif. Cela consiste en l’opportunité de faire appel à des capacités physiques et neuro-cérébrales complémentaires, pour autant que ces composantes posturales et motrices sont en complète cohérence avec les préférences alternatives de cet individu.

Si tel n’est pas le cas, on crée des conditions propices à :

  • de potentielles maladresses incompréhensibles (quand on s’encouble, quand on se cogne, qu’on commet des ratés monumentaux…)
  • de potentielles pertes d’équilibre (foulures, entorses, luxations…)
  • de potentielles surcharges (fractures de fatigue, crampes, claquage…)

D’où l’intérêt de savoir percevoir à quel type de motricité on fait appel à un instant « t », dans un contexte donné.

C’est ce que l’approche esSENSiel-ActionTypes® contribue à vous faire ressentir.

Marche, Course, Squats :

Saviez-vous qu’en matière de motricité, la coordination de l’être humain s’articule autour des plans frontal et latéral certes, mais en fonction du contexte et non pas uniquement en fonction de notre pensée ou volonté ?

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Il est donc erroné d’en déduire que quelqu’un marche, court uniquement de telle ou telle façon sur la base d’une observation ponctuelle, fût-elle faite avec de la technologie.

On privilégie un type de marche selon quelles chaînes musculaires on privilégie de façon générale. Ces préférences sont différentes selon les individus. Le type de marche que l’individu adopte, ainsi que les stations debout et assise, traduisent les priorités auxquelles un individu fait appel pour trouver et maintenir son équilibre avec ou contre la gravité.

Cependant, le contexte peut faire basculer cette individu d’un mode de coordination privilégié vers un mode alternatif. Cela consiste en l’opportunité de faire appel à des capacités physiques et neuro-cérébrales complémentaires, pour autant que ces composantes posturales et motrices sont en complète cohérence avec les préférences alternatives de cet individu.

Si tel n’est pas le cas, on crée des conditions propices à :

  • de potentielles maladresses incompréhensibles (quand on s’encouble, quand on se cogne, qu’on commet des ratés monumentaux…)
  • de potentielles pertes d’équilibre (foulures, entorses, luxations…)
  • de potentielles surcharges (fractures de fatigue, crampes, claquage…)

D’où l’intérêt de savoir percevoir à quel type de motricité on fait appel à un instant « t », dans un contexte donné.

C’est ce que l’approche esSENSiel-ActionTypes® contribue à vous faire ressentir.

La performance issue d’un effort résulte d’un engagement musculaire, sans aucun doute; mais celui-ci reste inefficace si il n’est pas couplé à une coordination, elle-même dépendante d’une posture. Toutefois, cette dernière ne découle pas en priorité des mensurations de la sportive/du sportif et de la forme ou dimension d’un vélo.

La puissance optimale émerge d’une posture et partant, d’une coordination qui respecte l’organisation psychomotrice globale de l’athlète. Cette organisation est propre à chaque individu; elle change selon que l’athlète est en pleine possession de ses moyens ou fatigué par exemple après 150 km ou après l’ascension d’un col de première catégorie.

C’est sur cette conscience d’une coordination qui s’adapte aux contextes et non pas d’une technique ou d’une posture qu’on impose aux contextes quels qu’ils soient que l’approche esSENSiel-ActionTypes® met l’accent; de sorte à permettre à l’athlète de tirer le meilleur profit de qui il est d’un point de vue psychomoteur selon les contextes.

Vélo – VTT

Saviez-vous que les watts qu’on exerce sur une pédale ne sont pas que le fruit d’un effort musculaire et de technicité ?

Pour nous contacter, cliquer ICI.

Vélo – VTT

Saviez-vous que les watts qu’on exerce sur une pédale ne sont pas que le fruit d’un effort musculaire et de technicité ?

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La performance issue d’un effort résulte d’un engagement musculaire, sans aucun doute; mais celui-ci reste inefficace si il n’est pas couplé à une coordination, elle-même dépendante d’une posture. Toutefois, cette dernière ne découle pas en priorité des mensurations de la sportive/du sportif et de la forme ou dimension d’un vélo.

La puissance optimale émerge d’une posture et partant, d’une coordination qui respecte l’organisation psychomotrice globale de l’athlète. Cette organisation est propre à chaque individu; elle change selon que l’athlète est en pleine possession de ses moyens ou fatigué par exemple après 150 km ou après l’ascension d’un col de première catégorie.

C’est sur cette conscience d’une coordination qui s’adapte aux contextes et non pas d’une technique ou d’une posture qu’on impose aux contextes quels qu’ils soient que l’approche esSENSiel-ActionTypes® met l’accent; de sorte à permettre à l’athlète de tirer le meilleur profit de qui il est d’un point de vue psychomoteur selon les contextes.

Ski alpin, Slalom, Freeride :

Saviez-vous que le type d’engin de glisse ou de chaussures influent positivement ou négativement sur des aspects structuraux de notre motricité ?

Pour nous contacter, cliquer ICI.

Utiliser un ski ou un snowboard plus ou moins taillé (parabolique), un engin de glisse plus ou moins large, des chaussures avec une tige plus ou moins inclinées vers l’avant fait appel à des qualités de coordination que vous avez certainement eu l’occasion de travailler et pratiquer que cela soit sous l’angle de la technique ou de la pratique :

Passer d’une même paire de skis ou d’une planche à une autre, ne changeant que par sa taille (largeur du patin par rapport à la largeur de sa spatule), change la perception physique qu’on en a. Pédagogiquement, on a conclu que cette prise en charge relevait des systèmes vestibulaire, kinesthésique et proprioceptif; ce qui est exact. On s’est arrêté là. Et pourtant, il est démontré aujourd’hui que l’apprentissage, fût-il différencié, ne peut être efficient que si on considère notre capacité à bouger d’une façon globale et individuelle. Chaque individu étant unique, ses capacités motrices ne peuvent être réduites à des considérations biomécaniques et techniques, d’autant moins si on considère la volatilité des environnements dans lesquels les glisseurs évoluent. L’influence du matériel, bonne ou mauvaise, ajoute à l’importance de prendre en compte les spécificités motrices de chaque individu globalement au-delà des seuls aspects techniques et proprioceptifs.

l’approche esSENSiel-ActionTypes® s’attache à faire ressentir à la personne à quelle organisation motrice elle fait appel en fonction du contexte dans lequel elle se trouve. Cela lui permettra, par exemple, d’adapter son matériel à son organisation motrice et non l’inverse, pour évoluer avec moins d’efforts, sans tension, plus d’efficacité, en sollicitant moins ses articulations par exemple.

Il lui sera dès lors aussi possible de choisir un équipement plus en rapport et en accord avec elle d’un point de vue psychomoteur au-delà et avant toute autre considération.

Ski alpin, Slalom, Freeride :

Saviez-vous que le type d’engin de glisse ou de chaussures influent positivement ou négativement sur des aspects structuraux de notre motricité ?

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Utiliser un ski ou un snowboard plus ou moins taillé (parabolique), un engin de glisse plus ou moins large, des chaussures avec une tige plus ou moins inclinées vers l’avant font appel à des qualités de coordination sensiblement différentes que vous avez certainement eu l’occasion de travailler et pratiquer que cela soit sous l’angle de la technique ou de la pratique :

Passer d’une même paire de skis ou d’une planche à une autre, ne changeant que par sa taille (largeur du patin par rapport à la largeur de sa spatule), change la perception physique qu’on en a. Pédagogiquement, on a conclu que cette prise en charge relevait des systèmes vestibulaire, kinesthésique et proprioceptif; ce qui est exact. On s’est arrêté là. Et pourtant, il est démontré aujourd’hui que l’apprentissage, fût-il différencié, ne peut être efficient que si on considère notre capacité à bouger d’une façon globale et individuelle. Chaque individu étant unique, ses capacités motrices ne peuvent être réduites à des considérations biomécaniques et techniques, d’autant moins si on considère la volatilité des environnements dans lesquels les glisseurs évoluent. L’influence du matériel, bonne ou mauvaise, ajoute à l’importance de prendre en compte les spécificités motrices de chaque individu globalement, au-delà des seuls aspects techniques et proprioceptifs.

l’approche esSENSiel-ActionTypes® s’attache à faire ressentir à la personne à quelle organisation motrice elle fait appel en fonction du contexte dans lequel elle se trouve. Cela lui permettra, par exemple, d’adapter son matériel à son organisation motrice et non l’inverse, pour évoluer avec moins d’efforts, sans tension, plus d’efficacité, en sollicitant moins ses articulations par exemple.

Il lui sera dès lors aussi possible de choisir un équipement plus en rapport et en accord avec elle d’un point de vue psychomoteur, au-delà et avant toute autre considération.

Toutes celles et ceux qui ont pratiqué le snowboard en passant du stade de débutant à celui de plus avancé ont pu ressentir que les mouvements amenant à une bonne coordination sur l’engin étaient bien différents. Plus on se familiarise avec la planche, moins il est nécessaire de faire appel à des mouvements de rotation du haut du corps.

Faire appel à des mouvements de rotation ou des contre-mouvements du haut du corps dans un axe différent de celui des hanches, est une qualité naturelle d’une partie du genre humain qui est mise en exergue dans les premiers stades de la pratique du snowboard, qu’il soit de type alpin, freestyle ou allround quand la forme taillée du snowboard et ses carres sont peu mises à contribution. Plus ces dernières sont sollicitées, moins il est nécessaire d’être actif avec le haut du corps à des fins rotationnelles. C’est une conséquence mise en évidence dès que l’appui sur les bords de l’engin prend le pas sur les formes dérapées ou que le pratiquant fait preuve d’un équilibre plus sûr. Cela favorise l’autre partie du genre humain qui, à des fins rotationnelles,  s’appuie plus naturellement sur une utilisation associée de leurs ceintures pelvienne (hanches) et scapulaire (épaules) délaissant ainsi les mouvement dits de contre-rotation.

Selon notre organisation motrice naturelle, il est donc soit plus facile d’appréhender la pratique du snowboard et plus dispendieux énergétiquement de progresser une fois les bases acquises, ou à l’inverse, il est plus ardu d’en maîtriser les mouvements de base mais bien plus aisé ensuite de progresser dans ce qu’un bon niveau de snowboard demande en matière de coordination et de sensations.

Chacun d’entre nous a donc des priorités motrices qui lui sont propres qu’il s’agit de respecter pour assurer une appréhension sûre et une maîtrise plus efficace de nouvelles formes de glisse. Je parle bien ici de priorités et non de limites; tout le monde peut faire usage d’une qualité motrice ou d’une autre, mais pas de la même façon ni dans les mêmes situations… Si il n’est pas forcément conscient de passer spontanément de l’une à l’autre de façon cohérente et efficace, il est primordial de savoir quand et comment son système bascule de l’une à l’autre de ces organisations motrices pour en tirer profit ou ne pas générer des incohérences susceptibles d’amener des pertes d’équilibre, des blocages, voire des blessures.

Il est donc plus qu’utile de ressentir quand et comment on s’appuie sur quelle organisation motrice pour éviter de lutter contre soi-même ou de se mettre à risque.

C’est ce que l’approche esSENSiel-ActionTypes® contribue à vous faire ressentir.

Snowboard

Saviez-vous que le snowboard fait appel à deux caractéristiques motrices structurelles qui sont antagonistes selon que vous êtes débutant ou bon technicien ?

Pour nous contacter cliquer ICI.

Snowboard

Saviez-vous que le snowboard fait appel à deux caractéristiques motrices structurelles qui sont antagonistes selon que vous êtes débutant ou bon technicien ?

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Toutes celles et ceux qui ont pratiqué le snowboard en passant du stade de débutant à celui de plus avancé ont pu ressentir que les mouvements amenant à une bonne coordination sur l’engin étaient bien différents. Plus on se familiarise avec la planche, moins il est nécessaire de faire appel à des mouvements de rotation du haut du corps.

Faire appel à des mouvements de rotation, voire des contre-mouvements du haut du corps dans un axe différent de celui des hanches, est une qualité mise en exergue dans les premiers stades de la pratique du snowboard, qu’il soit de type alpin, freestyle ou allround. Les personnes au bénéfice de cette priorité motrice naturelle ont donc un avantage sur les autres. Que ces dernières se rassurent, une organisation psychomotrice qui associe le haut et le bas du corps dans un même sens rotatoire est mis en exergue aussitôt que l’appui sur les carres de l’engin prend le pas sur les formes dérapées ou que le/la pratiquant fait preuve d’un équilibre plus sûr.

Selon notre organisation motrice naturelle, il est donc soit plus facile d’appréhender la pratique du snowboard et plus dispendieux énergétiquement de progresser une fois les bases acquises, ou à l’inverse, il est plus ardu d’en maîtriser les mouvements de base mais bien plus aisé ensuite de progresser dans ce qu’un bon niveau de snowboard demande en matière de coordination et de sensations.

Chacun d’entre nous a donc des priorités motrices qui lui sont propres qu’il s’agit de respecter pour assurer une appréhension sûre et une maîtrise plus efficace de nouvelles formes de glisse. Je parle bien ici de priorités et non de limites; tout le monde peut faire usage d’une qualité motrice ou d’une autre, mais pas de la même façon ni dans les mêmes situations… Si il n’est pas forcément conscient de passer spontanément de l’une à l’autre de façon cohérente et efficace, il est primordial de savoir quand et comment son système bascule de l’une à l’autre de ces organisations motrices pour en tirer profit ou ne pas générer des incohérences susceptibles d’amener des pertes d’équilibre, des blocages, voire des blessures.

Il est donc plus qu’utile de ressentir quand et comment on s’appuie sur quelle organisation motrice pour éviter de lutter contre soi-même ou de se mettre à risque.

C’est ce que l’approche esSENSiel-ActionTypes® contribue à vous faire ressentir.

Ski de Fond, Skating :

Saviez-vous qu’en skating, garder ses épaules dans le même axe que celui des hanches n’est pas bénéfique pour tout le monde ?

Pour nous contacter cliquer ICI.

La recommandation technique qui dit qu’il faut toujours garder les épaules dans le même axe que les hanches n’est valable que pour les personnes qui sont en mesure de tirer avantage d’une organisation motrice dite associée, voire symétrique pour certaines ou certains. Imposer cela lorsque le corps n’évolue pas dans une telle configuration motrice revient à priver l’athlète de l’accès à une partie de ses propres ressources.

Il importe de percevoir dans quelles circonstances, pour des raisons techniques ou physiques, l’athlète passe d’une motricité à l’autre. Cela lui permet de pouvoir adapter la technique à son système psychomoteur et non l’inverse.

l’approche esSENSiel-ActionTypes® s’attache à permettre à l’athlète de ressentir cela pour qu’elle/il en tire profit par lui-même selon les contextes.

Ski de Fond, Skating :

Saviez-vous qu’en skating, garder ses épaules dans le même axe que celui des hanches n’est pas bénéfique pour tout le monde ?

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La recommandation technique qui dit qu’il faut toujours garder les épaules dans le même axe que les hanches n’est valable que pour les personnes qui sont en mesure de tirer avantage d’une organisation motrice dite associée, voire symétrique pour certaines ou certains. Imposer cela lorsque le corps n’évolue pas dans une telle configuration motrice revient à priver l’athlète de l’accès à une partie de ses propres ressources.

Il importe de percevoir dans quelles circonstances, pour des raisons techniques ou physiques, l’athlète passe d’une motricité à l’autre. Cela lui permet de pouvoir adapter la technique à son système psychomoteur et non l’inverse.

l’approche esSENSiel-ActionTypes® s’attache à permettre à l’athlète de ressentir cela pour qu’elle/il en tire profit par lui-même selon les contextes.

Grosso modo, une moitié d’entre nous ont besoin de « mentaliser » ce qu’elles/ils vont faire en matière de mouvements, de prises, d’enchaînements de mouvements. Cela passe par une lecture attentive de la longueur à escalader, de ses prises, approche qu’on voit beaucoup en compétition. Par ailleurs, cette façon de faire ne convient pas à toutes les formes d’organisations motrices. Certaines et certains d’entre nous, bien au contraire, s’organisent beaucoup mieux sans la contrainte du cadre de la prévisibilité, de la prévisualisation et s’imprègnent de ce qui les attend beaucoup mieux en regardant globalement la voie, puis en se concentrant sur leurs mouvements au fur et à mesure de leur avancée. L’une approche n’est pas meilleure que l’autre.

Les neurosciences nous montrent qu’il vaut mieux s’en tenir à celle qui nous convient, car basculer vers l’autre forme de motricité est moins instinctif, moins spontané, moins facile et donc moins énergique, mais basculer vers l’autre type de motricité nous permet de ne pas être contraint par la dimension émotionnelle de la situation.

Ce potentiel de progrès vous tente-t-il ? Il ne vous reste plus qu’à faire l’expérience physique de ces deux types d’organisation que nous avons toutes et tous à disposition, mais que nous n’utilisons pas forcément à bon escient. Telle est la spécificité de l’approche esSENSiel-ActionTypes®.

Escalade :

Saviez-vous que selon l’organisation motrice que vous privilégiez, vous pouvez avoir une approche soit plutôt conceptuelle ou soit plutôt contextuelle des mouvements que vous allez faire ?

Et qu’utiliser l’une plutôt que l’autre n’est pas bénéfique selon qui on est…

Pour nous contacter cliquer ICI.

Escalade :

Saviez-vous que selon l’organisation motrice que vous privilégiez, vous pouvez avoir une approche soit plutôt conceptuelle ou soit plutôt contextuelle des mouvements que vous allez faire ?

Et qu’utiliser l’une plutôt que l’autre n’est pas bénéfique selon qui on est…

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Grosso modo, une moitié d’entre nous ont besoin de « mentaliser » ce qu’elles/ils vont faire en matière de mouvements, de prises, d’enchaînements de mouvements. Cela passe par une lecture attentive de la longueur à escalader, de ses prises, approche qu’on voit beaucoup en compétition. Par ailleurs, cette façon de faire ne convient pas à toutes les formes d’organisations motrices. Certaines et certains d’entre nous, bien au contraire, s’organisent beaucoup mieux sans la contrainte du cadre de la prévisibilité, de la prévisualisation et s’imprègnent de ce qui les attend beaucoup mieux en regardant globalement la voie, puis en se concentrant sur leurs mouvements au fur et à mesure de leur avancée. L’une approche n’est pas meilleure que l’autre.

Les neurosciences nous montrent qu’il vaut mieux s’en tenir à celle qui nous convient, car basculer vers l’autre forme de motricité est moins instinctif, moins spontané, moins facile et donc moins énergique, mais basculer vers l’autre type de motricité nous permet de ne pas être contraint par la dimension émotionnelle de la situation.

Ce potentiel de progrès vous tente-t-il ? Il ne vous reste plus qu’à faire l’expérience physique de ces deux types d’organisation que nous avons toutes et tous à disposition, mais que nous n’utilisons pas forcément à bon escient. Telle est la spécificité de l’approche esSENSiel-ActionTypes®.

Natation, Paddle, Canoé :

Saviez-vous que l’engagement du corps ou du tronc pour optimiser l’engagement et l’appui sur un bras ou sur une pagaie diffère d’un individu à l’autre ?

Pour nous contacter cliquer ICI.

Vous aurez certainement constaté que certains nageurs, en crawl, font des battements de pieds en gardant les pieds dans l’axe du corps; alors que d’autres ont les pieds qui ont tendance à se croiser dans l’eau; certains parfois oscillent leur corps latéralement se mouvant tel un paddle plutôt que comme une torpille.

C’est constitutif de deux types d’organisation motrice; qui sont structurelles et propres à chaque individu. Corriger cela au nom d’une technique est contre productif.

De la même façon, dans les sports de rames ou de pagaies, l’engagement de celles-ci s’appuient sur une organisation psychomotrice différente selon que l’athlète engage ses mouvements avec le haut du corps ou avec le bassin.

La force musculaire a préalablement besoin d’une bonne coordination pour produire son effet et cela ne se produit que lorsque cette coordination correspond au système psychomoteur de l’individu. C’est sur ce ressenti que l’approche esSENSiel-ActionTypes® se concentre plutôt que sur la technique elle-même.

Natation, Paddle, Canoé :

Saviez-vous que l’engagement du corps ou du tronc pour optimiser l’engagement et l’appui sur un bras ou sur une pagaie diffère d’un individu à l’autre ?

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Vous aurez certainement constaté que certains nageurs, en crawl, font des battements de pieds en gardant les pieds dans l’axe du corps; alors que d’autres ont les pieds qui ont tendance à se croiser dans l’eau; certains parfois oscillent leur corps latéralement se mouvant tel un paddle plutôt que comme une torpille.

C’est constitutif de deux types d’organisation motrice; qui sont structurelles et propres à chaque individu. Corriger cela au nom d’une technique est contre productif.

De la même façon, dans les sports de rames ou de pagaies, l’engagement de celles-ci s’appuient sur une organisation psychomotrice différente selon que l’athlète engage ses mouvements avec le haut du corps ou avec le bassin.

La force musculaire a préalablement besoin d’une bonne coordination pour produire son effet et cela ne se produit que lorsque cette coordination correspond au système psychomoteur de l’individu. C’est sur ce ressenti que l’approche esSENSiel-ActionTypes® se concentre plutôt que sur la technique elle-même.

Un lancer, une frappe efficace et précise est le résultat et l’émergence d’une coordination idéale dans un contexte donné.

Acquérir une technique de lancer ou de frappe et la travailler est certes utile et nécessaire. Pour autant, cela ne rendra pas ce geste instinctif, car entraîner et systématiser un geste dans un contexte donné, même en variant ces contextes, n’est efficace que dans un cadre très restreint de cas de figure à l’usage.

Notre système psychomoteur a été conçu dès son origine pour bouger et s’adapter à des environnements changeant sans cesse.

Pour un lancer et une frappe, il est donc plus efficace de percevoir quand et comment s’adapter aux changements en fonction de qui l’on est plutôt que d’imposer une même technique ou un même type de coordination face à ces changements de contextes perpétuels. La variété de ces derniers étant infinie, les gestes les plus parfaits qu’on puisse entraîner et répéter ne le seront jamais assez  face à la rapidité et aux nombres de changements contextuels auxquels l’athlète fait face.

C’est sur ce point, qui consiste à offrir à l’athlète la possibilité d’identifier ses ressources motrices intrinsèques dans des contextes et environnements différents, que l’approche esSENSiel-ActionTypes® trouve ses fondements.

Tennis, Squash, Badminton, Lancers :

Saviez-vous que la préparation et la finition pour un mouvement de lancer efficace et précis ne découlent pas prioritairement de ce qui est communément appelé le « Geste Parfait » techniquement parlant ?

Pour nous contacter cliquer ICI.

Tennis, Squash, Badminton, Lancers :

Saviez-vous que la préparation et la finition pour un mouvement de lancer efficace et précis ne découlent pas prioritairement de ce qui est communément appelé le « Geste Parfait » techniquement parlant ?

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Un lancer, une frappe efficace et précise est le résultat et l’émergence d’une coordination idéale dans un contexte donné.

Acquérir une technique de lancer ou de frappe et la travailler est certes utile et nécessaire. Pour autant, cela ne rendra pas ce geste instinctif, car entraîner et systématiser un geste dans un contexte donné, même en variant ces contextes, n’est efficace que dans un cadre très restreint de cas de figure à l’usage.

Notre système psychomoteur a été conçu dès son origine pour bouger et s’adapter à des environnements changeant sans cesse.

Pour un lancer et une frappe, il est donc plus efficace de percevoir quand et comment s’adapter aux changements en fonction de qui l’on est plutôt que d’imposer une même technique ou un même type de coordination face à ces changements de contextes perpétuels. La variété de ces derniers étant infinie, les gestes les plus parfaits qu’on puisse entraîner et répéter ne le seront jamais assez  face à la rapidité et aux nombres de changements contextuels auxquels l’athlète fait face.

C’est sur ce point, qui consiste à offrir à l’athlète la possibilité d’identifier ses ressources motrices intrinsèques dans des contextes et environnements différents, que l’approche esSENSiel-ActionTypes® trouve ses fondements.

Force Musculaire, Explosivité :

Saviez-vous qu’expirer pendant l’effort pour en tirer le meilleur parti n’est pas la règle ?

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Vous comme moi avez entendu ce conseil qui consiste à expirer pendant la durée de l’effort. C’est exact dans certains contextes de posture et de coordination selon que la personne est en position de coordonner sa mobilité en s’appuyant sur sa motricité naturelle ou pas.

Le contexte et l’environnement influent sur l’organisation motrice de l’individu. La façon de respirer à l’effort se doit d’être cohérente et découler de cette organisation motrice. Percevoir le type de coordination auquel on fait appel est donc déterminant pour coordonner sa respiration et son engagement musculaire afin d’en tirer le meilleur parti. Tout le monde ne se prépare pas au mieux à un effort violent en bloquant sa respiration…

Encore faut-il pouvoir ressentir son corps en fonction de ces moments. Tel est l’accent mis par l’approche esSENSiel-ActionTypes®.

Force Musculaire, Explosivité :

Saviez-vous qu’expirer pendant l’effort pour en tirer le meilleur parti n’est pas la règle ?

Pour nous contacter cliquer ICI.

Vous comme moi avez entendu ce conseil qui consiste à expirer pendant la durée de l’effort. C’est exact dans certains contextes de posture et de coordination selon que la personne est en position de coordonner sa mobilité en s’appuyant sur sa motricité naturelle ou pas.

Le contexte et l’environnement influent sur l’organisation motrice de l’individu. La façon de respirer à l’effort se doit d’être cohérente et découler de cette organisation motrice. Percevoir le type de coordination auquel on fait appel est donc déterminant pour coordonner sa respiration et son engagement musculaire afin d’en tirer le meilleur parti. Tout le monde ne se prépare pas au mieux à un effort violent en bloquant sa respiration…

Encore faut-il pouvoir ressentir son corps en fonction de ces moments. Tel est l’accent mis par l’approche esSENSiel -ActionTypes®.

L’explosivité, la force, la puissance, la réactivité sont autant de facteurs de réussite qui sont (trop) souvent travaillés pour ce qu’ils sont et en tant quel tels. Or, les neurosciences nous apprennent qu’il est vain de ne capitaliser que sur leur entraînement respectif pour progresser. Considérés isolément, entraînés séparément, ils demanderont énormément de temps et d’énergie pour des résultats globalement très aléatoires car décontextualisés.

Une performance, quelle qu’elle soit, émerge d’une coordination, elle-même le résultat d’une organisation psycho-motrice cohérente. Or, celle-ci est propre à chaque individu et s’adapte, s’organise, se réorganise en permanence en fonction du contexte. Il est donc primordial de commencer par identifier les inclinations motrices intrinsèques de la sportive, du sportif et s’assurer ensuite de la cohérence de cette organisation dans les différents contextes et situations face auxquels elle/il se  confronte.

Ce n’est que sur fond de cet acquis sensoriel que la sportive, le sportif pourra laisser s’exprimer au mieux ses facultés d’explosivité, de puissance, de force ou de réactivité dans la pratique de sa discipline sportive.

l’approche esSENSiel-ActionTypes® vise à développer cette perception sensorielle et cette conscience chez les sportifs.

Lutte, Escrime, Boxe :

Saviez-vous que l’explosivité, la puissance ou la réactivité ne résultent pas uniquement de postures et de techniques d’attaques ou d’esquives ?

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Lutte, Escrime, Boxe :

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L’explosivité, la force, la puissance, la réactivité sont autant de facteurs de réussite qui sont (trop) souvent travaillés pour ce qu’ils sont et en tant quel tels. Or, les neurosciences nous apprennent qu’il est vain de ne capitaliser que sur leur entraînement respectif pour progresser. Considérés isolément, entraînés séparément, ils demanderont énormément de temps et d’énergie pour des résultats globalement très aléatoires car décontextualisés.

Une performance, quelle qu’elle soit, émerge d’une coordination, elle-même le résultat d’une organisation psycho-motrice cohérente. Or, celle-ci est propre à chaque individu et s’adapte, s’organise, se réorganise en permanence en fonction du contexte. Il est donc primordial de commencer par identifier les inclinations motrices intrinsèques de la sportive, du sportif et s’assurer ensuite de la cohérence de cette organisation dans les différents contextes et situations face auxquels elle/il se  confronte.

Ce n’est que sur fond de cet acquis sensoriel que la sportive, le sportif pourra laisser s’exprimer au mieux ses facultés d’explosivité, de puissance, de force ou de réactivité dans la pratique de sa discipline sportive.

l’approche esSENSiel-ActionTypes® vise à développer cette perception sensorielle et cette conscience chez les sportifs.

Patinage sur Glace, Roller :

Saviez-vous que pour la moitié d’entre nous prendre de la vitesse en patinant signifie ne pas aller droit ?

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« Le plus court chemin n’est pas toujours la ligne droite, il faut parfois savoir contourner la montagne ». Cette maxime prend  tout son sens en course d’orientation. Étonamment, elle trouve aussi sa place en psychomotricité, même appliquée aux différentes formes de patinages.

En matière de coordination et de mouvements, l’efficacité et la performance se cachent là où on ne les attend pas, plus exactement là où on ne va pas les chercher…

En effet, il y a deux familles en la matière celles et ceux qui s’organisent longitudinalement. Ceux-là s’organisent de la tête aux pieds dans la direction vers laquelle elles/ils tendent. C’est le type de coordination sur laquelle la technique dite « idéale » telle que décrite dans certains livres  et sur certains sites internet s’appuie…

Toutefois, pour l’autre moitié de la population, cette façon de faire n’est pas la plus efficace; cette population motrice a besoin de références transversales pour avoir une bonne poussée et de la fluidité; ce qui se traduit sur des patins par des trajectoires alambiquées, surtout aux yeux de celles et ceux qui ne s’appuient pas sur une telle organisation de leur coordination.

l’approche esSENSiel-ActionTypes® vise à développer cette perception sensorielle et cette conscience chez les sportifs.

Patinage sur Glace, Roller :

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« Le plus court chemin n’est pas toujours la ligne droite, il faut parfois savoir contourner la montagne ». Cette maxime prend  tout son sens en course d’orientation. Étonamment, elle trouve aussi sa place en psychomotricité, même appliquée aux différentes formes de patinages.

En matière de coordination et de mouvements, l’efficacité et la performance se cachent là où on ne les attend pas, plus exactement là où on ne va pas les chercher…

En effet, il y a deux familles en la matière celles et ceux qui s’organisent longitudinalement. Ceux-là s’organisent de la tête aux pieds dans la direction vers laquelle elles/ils tendent. C’est le type de coordination sur laquelle la technique dite « idéale » telle que décrite dans certains livres  et sur certains sites internet s’appuie…

Toutefois, pour l’autre moitié de la population, cette façon de faire n’est pas la plus efficace; cette population motrice a besoin de références transversales pour avoir une bonne poussée et de la fluidité; ce qui se traduit sur des patins par des trajectoires alambiquées, surtout aux yeux de celles et ceux qui ne s’appuient pas sur une telle organisation de leur coordination.

l’approche esSENSiel-ActionTypes® vise à développer cette perception sensorielle et cette conscience chez les sportifs.

Les mammifères dont le genre humain fait partie, partagent les mêmes caractéristiques et priorités psychomotrices aux fins de se coordonner et de bouger…

Notre cerveau est muni de deux hémisphères, pas uniquement pour coordonner et gérer nerveusement nos latéralités. Cette bipolarité nous permet l’adaptation à l’environnement celui-ci n’étant par nature jamais figé, qu’il soit naturel, sensoriel, relationnel, émotionnel voire cognitif.

Ce cerveau étant au service du corps, il nous confère la possibilité d’organiser notre coordination, donc nos mouvements de différentes façons en fonction de ces données environnementales ou contextuelles. C’est par ailleurs cette faculté qui nous permet de récupérer lorsque nous dormons. Quand nous dormons, nos priorités neuro-cérébrales et psychomotrices sont à l’opposé de celles auxquelles nous faisons appel en journée.

Cela signifie qu’en matière de mouvements, nous avons donc au moins deux façons possibles de nous coordonner pour courir efficacement mais pas pour les mêmes raisons. En avoir conscience, c’est se donner la possibilité de récupérer activement lors d’un « décrassage » par exemple.

C’est un des aspects sur lequel l’approche esSENSiel-ActionTypes® se concentre.

Trail Running, Trekking

Saviez-vous qu’il nous est possible d’organiser notre motricité différemment selon qu’on veuille se dépenser plus ou selon qu’on ait besoin de s’économiser ?

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Trail Running, Trekking

Saviez-vous qu’il nous est possible d’organiser notre motricité différemment selon qu’on veuille se dépenser plus ou selon qu’on ait besoin de s’économiser ?

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Les mammifères dont le genre humain fait partie, partagent les mêmes caractéristiques et priorités psychomotrices aux fins de se coordonner et de bouger…

Notre cerveau est muni de deux hémisphères, pas uniquement pour coordonner et gérer nerveusement nos latéralités. Cette bipolarité nous permet l’adaptation à l’environnement celui-ci n’étant par nature jamais figé, qu’il soit naturel, sensoriel, relationnel, émotionnel voire cognitif.

Ce cerveau étant au service du corps, il nous confère la possibilité d’organiser notre coordination, donc nos mouvements de différentes façons en fonction de ces données environnementales ou contextuelles. C’est par ailleurs cette faculté qui nous permet de récupérer lorsque nous dormons. Quand nous dormons, nos priorités neuro-cérébrales et psychomotrices sont à l’opposé de celles auxquelles nous faisons appel en journée.

Cela signifie qu’en matière de mouvements, nous avons donc au moins deux façons possibles de nous coordonner pour courir efficacement mais pas pour les mêmes raisons. En avoir conscience, c’est se donner la possibilité de récupérer activement lors d’un « décrassage » par exemple.

C’est un des aspects sur lequel l’approche esSENSiel se concentre.

Nordic Walking, Marche

Saviez-vous qu’il y a plusieurs façons d’engager et d’utiliser ses bâtons pour bénéficier d’un appui efficient ?

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Oui !, aussi bizarre et anecdotique que cela puisse paraître d’y faire référence ici, l’utilisation de bâtons de peau de phoque, de bâtons de marche ou de nordic walking n’est pas forcément si triviale que cela; en tous les cas sous l’angle d’une coordination respectueuse de l’individu.

Ce n’est pas anecdotique, car avec les pas, les mouvements de bras sont les mouvements les plus sollicités dans le cadre d’une marche, ce d’autant plus si on en fait usage dans des terrains accidentés ou des pentes marquées.

Et ce n’est pas trivial, car leur usage, aussi naturel et presque inné qu’il puisse paraître, découle d’organisations psychomotrices qui sont propres à chacune et chacun.

Une moitié d’entre nous bénéficie de plus de force dès le moment où le bâton touche le sol et jusqu’à la moitié du mouvement d’accompagnement ou de poussée. Pour l’autre moitié, c’est à partir du milieu du mouvement d’accompagnement que la poussée sur le bâton s’exercera le mieux.

Deux autres facteurs peuvent bonifier ou péjorer l’efficacité de l’utilisation des bâtons :

  • le fait d’engager le corps avant les bras pour entrer en mouvement, ou l’inverse
  • le fait de privilégier une marche avec une stimulation musculaire plutôt concentrique ou plutôt pliométrique

Tout ceci découle de préférences motrices et des contextes puisque certaines de ces préférences ne sont pas structurelles.

Ce n’est pas perceptible lorsqu’on marche sur un terrain plat pendant 30 minutes. Cela peut faire toute la différence après 6 heures de « crapahu » en terrains pentus hors sentier par exemple ou lors d’un trail longue distance, ce d’autant plus l’âge avançant.

Développer cette sensibilité permet de profiter pleinement de l’aide des bâtons sans en subir certains inconvénients contextuels. C’est cette sensibilité que l’approche esSENSiel développe.

Nordic Walking, Marche

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Oui !, aussi bizarre et anecdotique que cela puisse paraître d’y faire référence ici, l’utilisation de bâtons de peau de phoque, de bâtons de marche ou de nordic walking n’est pas forcément si triviale que cela; en tous les cas sous l’angle d’une coordination respectueuse de l’individu.

Ce n’est pas anecdotique, car avec les pas, les mouvements de bras sont les mouvements les plus sollicités dans le cadre d’une marche, ce d’autant plus si on en fait usage dans des terrains accidentés ou des pentes marquées.

Et ce n’est pas trivial, car leur usage, aussi naturel et presque inné qu’il puisse paraître, découle d’organisations psychomotrices qui sont propres à chacune et chacun.

Une moitié d’entre nous bénéficie de plus de force dès le moment où le bâton touche le sol et jusqu’à la moitié du mouvement d’accompagnement ou de poussée. Pour l’autre moitié, c’est à partir du milieu du mouvement d’accompagnement que la poussée sur le bâton s’exercera le mieux.

Deux autres facteurs peuvent bonifier ou péjorer l’efficacité de l’utilisation des bâtons :

  • le fait d’engager le corps avant les bras pour entrer en mouvement, ou l’inverse
  • le fait de privilégier une marche avec une stimulation musculaire plutôt concentrique ou plutôt pliométrique

Tout ceci découle de préférences motrices et des contextes puisque certaines de ces préférences ne sont pas structurelles.

Ce n’est pas perceptible lorsqu’on marche sur un terrain plat pendant 30 minutes. Cela peut faire toute la différence après 6 heures de « crapahu » en terrains pentus hors sentier par exemple ou lors d’un trail longue distance, ce d’autant plus l’âge avançant.

Développer cette sensibilité permet de profiter pleinement de l’aide des bâtons sans en subir certains inconvénients contextuels. C’est cette sensibilité que l’approche esSENSiel développe.

Merci de contacter esSENSiel

Nous vous prions de nous laisser vos coordonnées et de préciser ci-dessous dans quel cadre vous prenez contact ainsi que l'objet de votre intérêt.

Nous nous réjouissons de revenir à vous

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