« Blob & Physarum Polycephalum »
De quoi parle-ton ?
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De quoi parle-ton ?
AVANT-PROPOS RETOUR HAUT DE PAGE
C’est l’histoire d’une forme de vie, apparue il y a un milliard d’années, qui a survécu à tout, qui vit encore de nos jours, qui est visible à l’oeil nu, qui n’est ni un végétal, ni un champignon, ni un animal; une forme de vie que notre intelligence humaine peine à classer et à cerner tellement Physarum Polycephalum dépasse notre entendement. Car elle n’est pas qu’une forme de vie, c’est aussi plusieurs formes d’intelligences au-delà du sens que nous avons donné à ce mot… (cliquer ICI pour en lire plus sur le sujet de l’intelligence)
Vous m’aurez lu au fil des textes de ce site ou entendu dire par ailleurs ce que les neurosciences et les sciences du mouvement avancent :
il n’y a pas d’intelligence sans corps.
Ce que l’éthologue et chercheuse du CNRS Audrey DUSSUTOUR (*) nous présente dans ce qui suit conforte ce qui s’observe scientifiquement et empiriquement de plus en plus dans d’autres domaines relevant de la relation qu’entretient le vivant avec ce qui le caractérise :
un corps qui bouge dans un environnement qui change et mû par des formes d’intelligences au pluriel;
ce qui renvoie la définition de l’intelligence au singulier à un concept éculé.
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C’est l’histoire d’une forme de vie, apparue il y a un milliard d’années, qui a survécu à tout, qui vit encore de nos jours, qui est visible à l’oeil nu, qui n’est ni un végétal, ni un champignon, ni un animal; une forme de vie que notre intelligence humaine peine à classer et à cerner tellement Physarum Polycephalum dépasse notre entendement. Car elle n’est pas qu’une forme de vie, c’est aussi plusieurs formes d’intelligences au-delà du sens que nous avons donné à ce mot… (cliquer ICI pour en lire plus sur le sujet de l’intelligence)
Vous m’aurez lu au fil des textes de ce site ou entendu dire par ailleurs ce que les neurosciences et les sciences du mouvement avancent :
il n’y a pas d’intelligence sans corps.
Ce que l’éthologue et chercheuse du CNRS Audrey DUSSUTOUR (*) nous présente dans ce qui suit conforte ce qui s’observe scientifiquement et empiriquement de plus en plus dans d’autres domaines relevant de la relation qu’entretient le vivant avec ce qui le caractérise :
un corps qui bouge dans un environnement qui change et mû par des formes d’intelligences au pluriel;
ce qui renvoie la définition de l’intelligence au singulier à un concept éculé.
BLOB & PHYSARUM POLYCEPHALUM :
UN PEU D’HISTOIRE ?
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Physarum Polycephalum ou Blob ? On parle de la même chose.
la forme en « um » est son nom scientifique. Le nom générique Physarum, mélange de grec et de latin, signifie littéralement « petite vessie »; l’épithète spécifique Polycephalum signifiant « à plusieurs têtes ».
Blob est le surnom qui lui a été donné en référence au film éponyme sorti dans les années 70 relatant l’épopée d’une matière gélatineuse à la croissance exponentielle et douée d’un instinct destructeur.
Physarum Polycephalum est donc un organisme unicellulaire qui, tel nombre d’autres protistes, myxomycètes ou amibozoaires, fait partie de la famille des Mycétozoaires (Mycetozoa). Il en existe une centaine d’espèces et un millier de variantes.
Ce Mycétozoaires (Mycetozoa) fait preuve des qualités suivantes :
- Il n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon.
- Il optimise ses déplacements.
- Il a des buts et des objectifs
- Il sait développer un réseau.
- Il résout des problèmes.
- Il apprend de ses expériences.
- Il communique.
- Il choisit ou compose sa nourriture en vue d’un équilibre optimal.
- Il se reproduit et se développe.
- Il se met en « mode pause » indéfiniment et se réactive avec un peu d’humidité
ET TOUT CELA SANS CERVEAU
ni SYSTÈME NERVEUX
Un point faible ? Oui et c’est une question de point de vue, il n’aime pas la lumière.
Je vous ai perdu(e) ? Prenons un peu de hauteur ou de recul. Je vous présente ci-dessous deux façons de voir ce dont il est question dans l’ordonnancement et le calendrier du vivant.
Ci-dessous, l’arbre généalogique du vivant et en cercle rouge notre existence et notre présence en bon mammifères que nous sommes. Cela montre que du haut de notre soi-disante hauteur, chacune de nos décisions et chacun de nos actes sur cet environnement du vivant affectent l’ensemble de la branche sur laquelle nous sommes assis… et cela n’a strictement rien à voir avec la « planète », mais bien avec notre propre existence et celle des autres composantes du vivant sur lesquels nous avons un impact par nos activités non strictement nourricières.
À hauteur du cercle vert, l’apparition d’organismes vivants unicellulaires dont Physarum Polycephalum…
D’un point de vue chronologique, la perspective est tout aussi abyssale…
BLOB & PHYSARUM POLYCEPHALUM :
UN PEU D’HISTOIRE ?
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Physarum Polycephalum ou Blob ? On parle de la même chose.
la forme en « um » est son nom scientifique. Le nom générique Physarum, mélange de grec et de latin, signifie littéralement « petite vessie »; l’épithète spécifique Polycephalum signifiant « à plusieurs têtes ».
Blob est le surnom qui lui a été donné en référence au film éponyme sorti dans les années 70 relatant l’épopée d’une matière gélatineuse à la croissance exponentielle et douée d’un instinct destructeur.
Physarum Polycephalum est donc un organisme unicellulaire qui, tel nombre d’autres protistes, myxomycètes ou amibozoaires, fait partie de la famille des Mycétozoaires (Mycetozoa). Il en existe une centaine d’espèces et un millier de variantes.
Ce Mycétozoaire (Mycetozoa) fait preuve des qualités suivantes :
- Il n’est ni une plante, ni un animal, ni un champignon.
- Il optimise ses déplacements.
- Il a des buts et des objectifs
- Il sait développer un réseau.
- Il résout des problèmes.
- Il apprend de ses expériences.
- Il communique.
- Il choisit ou compose sa nourriture en vue d’un équilibre optimal.
- Il se reproduit et se développe.
- Il se met en « mode pause » indéfiniment et se réactive avec un peu d’humidité
ET TOUT CELA SANS CERVEAU
ni SYSTÈME NERVEUX
Un point faible ? Oui et c’est une question de point de vue, il n’aime pas la lumière.
Je vous ai perdu(e) ? Prenons un peu de hauteur ou de recul. Je vous présente ci-dessous deux façons de voir ce dont il est question dans l’ordonnancement et le calendrier du vivant.
Ci-dessous, l’arbre généalogique du vivant et en cercle rouge notre existence et notre présence en bon mammifères que nous sommes. Cela montre que du haut de notre soi-disante hauteur, chacune de nos décisions et chacun de nos actes sur cet environnement du vivant affectent l’ensemble de la branche sur laquelle nous sommes assis… et cela n’a strictement rien à voir avec la « planète », mais bien avec notre propre existence et celle des autres composantes du vivant sur lesquels nous avons un impact par nos activités non strictement nourricières.
À hauteur du cercle vert, l’apparition d’organismes vivants unicellulaires dont Physarum Polycephalum…
D’un point de vue chronologique, la perspective est tout aussi abyssale…
UN PEU DE PÉDAGOGIE ?
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Je vous invite à écouter Audrey DUSSUTOUR. Elle nous parle et nous montre en quoi l’observation et la compréhension de cet organisme peut nous ouvrir les yeux et ouvrir notre conscience à ce que le vivant en tant que tel peut nous apporter sur la compréhension du rapport que nous entretenons avec ce que nous nommons l’intelligence.
UN PEU DE PÉDAGOGIE ?
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Je vous invite à écouter Audrey DUSSUTOUR. Elle nous parle et nous montre en quoi l’observation et la compréhension de cet organisme peut nous ouvrir les yeux et ouvrir notre conscience à ce que le vivant en tant que tel peut nous apporter sur la compréhension du rapport que nous entretenons avec ce que nous nommons l’intelligence.
BLOB & PHYSARUM POLYCEPHALUM :
UN PEU D’EXPÉRIMENTATION ?
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Pour celles et ceux qui trouvent le sujet trop théorique, l’éthologue et chargée de recherches au CNRS A. Dussutour (*) vous propose un petit didacticiel pour aller à la rencontre du myxomycète Physarum Polycephalum; il vous est proposé de faire vivre ce blob et le faire évoluer par vous-même. En quelques étapes, vous pourrez :
- réveiller Physarum Polycephalum
- élever Physarum Polycephalum
- manipuler Physarum Polycephalum
- expérimenter Physarum Polycephalum
- rendormir Physarum Polycephalum
Il vous sera donc possible de réaliser vos propres expériences ou de reproduire les expériences dont il est question dans ce blog.
Prêt(e) ?!
À vos blobs !
Partez !
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UN PEU D’EXPÉRIMENTATION ?
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Pour celles et ceux qui trouvent le sujet trop théorique, l’éthologue et chargée de recherches au CNRS A. Dussutour (*) vous propose un petit didacticiel pour aller à la rencontre du myxomycète Physarum Polycephalum; il vous est proposé de faire vivre ce blob et le faire évoluer par vous-même. En quelques étapes, vous pourrez :
- réveiller Physarum Polycephalum
- élever Physarum Polycephalum
- manipuler Physarum Polycephalum
- expérimenter Physarum Polycephalum
- rendormir Physarum Polycephalum
Il vous sera donc possible de réaliser vos propres expériences ou de reproduire les expériences dont il est question dans ce blog.
Prêt(e) ?!
À vos blobs !
Partez !
QUEL RAPPORT AVEC L’APPROCHE esSENSiel ?
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L’approche esSENSiel-ActionTypes ne dissocie pas le physique du cérébral; elle s’appuie sur l’un (le physique) pour mieux percevoir l’autre (et réciproquement…), parce que l’un et l’autre fonctionnent ensemble globalement tout le temps; ils sont indissociables et uniques pour chaque individu.
Nous avons été éduqués, pour ne pas dire formatés, à considérer que la tête étant tout à la fois au-dessus du corps et munie d’un cerveau, l’intelligence ne pouvait se trouver que là…
Or, maintenant que des élans scientifiques prennent conscience que des formes d’intelligences identiques aux définitions que nous leur donnons existent ailleurs que dans une tête. XXXL’idée Pensez, à ce titre, dont
Ce qu’il y a de remarquable entre ce qu’ont observé initialement Audrey Dussutour et son équipe du CNRS, les neurosciences, les sciences du mouvement et l’approche empirique sur les préférences motrices menées par Bertrand Théraulaz et Ralf Hippolyte, c’est que des domaines aussi différents, des démarches aussi opposées mettent en lumière les mêmes constantes et priorités autour du vivant :
- Quand il est question de « vivant », l’environnement ou le contexte environnemental prime sur tout le reste.
- L’intelligence du corps prime sur toute autre forme d’intelligence, au point que j’avance que ce que nous appelons l’intelligence relève plutôt de la cognition et que l’intelligence ne se limite pas au « connaître » ou au « savoir ».
- Le rôle de notre cerveau ou des fonctions cérébrales que nous plaçons au-dessus de tout n’est pas celui qu’on lui/leur voue; Leurs rôles ne viennent qu’au troisième rang des priorités du vivant. Ils consistent avant tout d’être au service des deux précédentes.
C’est à ne pas avoir su comprendre cela plus tôt dans notre évolution, et à persister de ne pas vouloir le prendre en compte actuellement que nous faisons face à ce qui nous saute enfin aux yeux. Le changement et la survie de notre espèce ne découleront pas de mesures homéopathiques pour sauver la planète; ils découleront de notre capacité à prendre conscience de qui nous sommes et de notre façon d’interagir avec nous-mêmes, avec les autres et de facto avec notre environnement pour être en mesure de nous sauver nous-mêmes; la planète, elle, n’a pas eu besoin de nous pour naître et évoluer; l’inverse est notablement faux. Toutes celles et ceux qui pensent vouloir ou devoir sauver la planète, le climat ou le réchauffement s’appliquent :
- à lutter contre des conséquences plutôt que contre des causes;
- à se déresponsabiliser et à se donner bonne conscience en dissociant leur mode de vie ou leurs comportements de ce contre quoi elles/ils prétendent lutter;
- à un exercice égotique au nom de l’intelligence et de la conscience humaine sur la nature qui se serait déréglée .
Les préférences motrices en cela sont le meilleur des points d’entrée pour influer sur la légitimité que nous pouvons avoir de nous-mêmes et de ce qui nous entoure. Cela offre l’opportunité de :
- Ressentir et prendre conscience par soi-même ce qu’est être soi, au-delà des modèles simplistes et hiérarchiques qui ont été imaginés et mis en oeuvre pour nous et sans nous.
- Charité bien comprise commençant par soi-même, se développer soi-même plutôt que de compter sur les autres pour le faire.
- Cela étant, devenir plus indépendant et paradoxalement plus tolérant à l’égard d’autres systèmes de valeurs que celui dans lequel on trempe.
Ressentir notre identité psychomotrice nous fait expérimenter de l’intérieur ce qui se passe en nous et autour de nous indépendamment de notre origine, de notre culture, de notre éducation, de notre activité, de notre cursus, de notre rang ou de notre rôle; cela révèle :
- en quoi le contexte nous affecte positivement ou pas (que le mental le veuille ou pas…);
- en quoi la différence est la règle et non pas l’exception dans l’univers comme dans le vivant,
- en quoi l’équilibre au sens large découle de l’interaction permanente entre les dimensions environnementales, contextuelles, physiques et psychiques.
Cela étant, il nous est possible de risquer et d’oser être créatif; ne plus craindre les spectres de l’erreur, de l’échec, de la peur et des soucis d’identifications qui nous ont été si savamment inoculés.
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L’approche esSENSiel-ActionTypes ne dissocie pas le physique du cérébral; elle s’appuie sur l’un (le physique) pour mieux percevoir l’autre (et réciproquement…), parce que l’un et l’autre fonctionnent ensemble globalement tout le temps; ils sont indissociables et uniques pour chaque individu.
Nous avons été éduqués, pour ne pas dire formatés, à considérer que la tête étant tout à la fois au-dessus du corps et munie d’un cerveau, l’intelligence ne pouvait se trouver que là… Or ce qu’il y a de remarquable entre ce qu’ont observé initialement Audrey Dussutour et son équipe du CNRS, les neurosciences, les sciences du mouvement et l’approche empirique sur les préférences motrices menées par Bertrand Théraulaz et Ralf Hippolyte, c’est que des domaines aussi différents, dans des démarches aussi différentes mettent en lumière les mêmes constante et priorités autour du vivant :
- Quand il est question de « vivant », l’environnement ou le contexte environnemental prime sur tout le reste.
- L’intelligence du corps prime sur toute autre forme d’intelligence, au point que j’avance que ce que nous appelons l’intelligence relève plutôt de la cognition et que l’intelligence ne se limite pas à connaître ou savoir.
- Le rôle de notre cerveau ou des fonctions cérébrales que nous plaçons au-dessus de tout n’est pas celui qu’on lui voue; il ne devrait jouer son rôle qu’au troisième rang des priorités du vivant et n’être qu’au service des deux précédentes.
C’est à ne pas avoir su comprendre cela plus tôt dans notre évolution, et à persister à ne pas vouloir le prendre en compte actuellement que nous faisons face à ce qui nous saute enfin aux yeux. Le changement et la survie de notre espèce ne découleront pas de mesures homéopathiques pour sauver la planète; ils découleront de notre capacité à prendre conscience de qui nous sommes et de comment nous interagissons d’abord avec nous-mêmes, avec les autres et de facto avec notre environnement pour nous sauver nous-mêmes; la planète n’a pas eu besoin de nous pour naître et évoluer; l’inverse est notablement faux. Toutes celles et ceux qui pensent vouloir ou devoir sauver la planète, le climat ou le réchauffement s’appliquent :
- à lutter contre des conséquences plutôt que contre des causes;
- à se déresponsabiliser et à se donner bonne conscience en dissociant leur mode de vie ou leurs comportements de ce contre quoi elles/ils prétendent lutter;
- à un exercice égotique au nom de l’intelligence et de la conscience humaine sur la nature qui ce serait déréglée .
Les préférences motrices en cela sont le meilleur des points d’entrée pour agir sur les véritables causes des aspects négatifs de notre évolution :
- Ressentir et prendre conscience par soi-même de ce qu’est être soi au-delà des modèles simplistes et hiérarchiques qui ont été imaginés et mis en oeuvre sans nous.
- Charité bien comprise commençant par soi-même, autant se développer soi-même plutôt que de compter sur les autres pour le faire.
- Cela étant on devient plus indépendant et paradoxalement plus tolérant à l’égard d’autres systèmes de valeurs que celui dans lequel on trempe.
Ressentir notre identité psychomotrice nous fait expérimenter de l’intérieur ce qui se passe en nous et autour de nous indépendamment de notre origine, de notre culture, de notre éducation, de notre activité, de notre cursus, de notre rang ou de notre rôle; cela révèle :
- en quoi le contexte nous affecte positivement ou pas (que le mental le veuille ou pas…);
- en quoi la différence est la règle et non pas l’exception dans l’univers comme dans le vivant,
- en quoi l’équilibre au sens large découle de l’interaction permanente entre les dimensions environnementales, contextuelles, physiques et psychiques.
Cela étant, il nous est possible de risquer et d’oser être créatif; ne plus craindre les spectres de l’erreur, de l’échec, de la peur et du souci d’identification qui nous ont été si savamment inoculés.
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(*) AUDREY DUSSUTOUR
Directrice de recherche / Éthologue / Neuroscientifique / Myrmécologue / Autrice
Connue et reconnue pour ces études et expériences sur le comportement des fourmis et des blobs, et ses expériences éducatives, Audrey Dussutour alimente scientifiquement l’idée que l’intelligence est plurielle et va au-delà de la définition qu’on en a donnée jusqu’ici et pourrait remettre en question l’origine qu’on lui a attribuée, voire sa définition.
Je cite une phrase issue d’un de ses livres qui résume bien la personne et le (bon) sens de son parcours.
« La science est comme une plante dont la recherche fondamentale est les racines et la recherche appliquée les fleurs. Sans racines vous n’aurez pas de fleurs. »
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RÉFÉRENCES :
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(*) AUDREY DUSSUTOUR
Directrice de recherche / Éthologue / Neuroscientifique / Myrmécologue / Autrice
Connue et reconnue pour ces études et expériences sur le comportement des fourmis et des blobs, et ses expériences éducatives, Audrey Dussutour alimente scientifiquement l’idée que l’intelligence est plurielle et va au-delà de la définition qu’on en a donnée jusqu’ici et pourrait remettre en question l’origine qu’on lui a attribuée, voire sa définition.
Je cite une phrase issue d’un de ses livres qui résume bien la personne et le (bon) sens de son parcours.
« La science est comme une plante dont la recherche fondamentale est les racines et la recherche appliquée les fleurs. Sans racines vous n’aurez pas de fleurs. »
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